Dans un contexte où de plus en plus de familles marocaines expriment leur mécontentement face à la hausse des frais de scolarité dans les écoles privées, la déclaration de Chakib Benmoussa souligne que le ministère ne dispose pas del'autorité pour la régulation des frais de ces écoles.
Lors d'une réponse écrite adressée au groupe parlementaire du Progrès et du Socialisme, Benmoussa a souligné que la régulation des frais dans ces établissements relève de la loi n° 06.00, qui confère aux institutions privées la liberté de fixer leurs prix en fonction de l'offre et de la demande.
Cette législation, qui est soutenue par la loi sur la liberté des prix et la concurrence, vise à encourager la diversité des services éducatifs tout en incitant les établissements à maintenir et à améliorer la qualité de leur offre. Toutefois, cette situation met de nombreux parents en difficulté, ces derniers étant confrontés à des augmentations de prix souvent injustifiées selon eux, sans qu'ils ne puissent véritablement peser sur les décisions prises par les établissements.
Face à cette réalité, le ministre a annoncé que son département travaille sur la mise en place d'un label de qualité qui permettra aux parents de mieux évaluer les établissements privés avant d'y inscrire leurs enfants. Ce label devrait apporter plus de transparence sur la qualité de l'enseignement, offrant ainsi une base plus solide pour justifier les frais demandés.
En parallèle, Benmoussa a insisté sur l'importance de l'amélioration continue du système éducatif public, avec pour objectif de restaurer la confiance des familles marocaines envers ce dernier. De plus, un contrat-type est en préparation pour clarifier les relations entre les établissements privés et les parents, avec l'objectif d'assurer une plus grande transparence et de définir clairement les obligations de chaque partie, notamment en ce qui concerne les frais de scolarité et les procédures administratives.
La question de la régulation des frais de scolarité dans les écoles privées reste donc une problématique complexe, où la liberté des prix, bien qu'essentielle pour maintenir la concurrence et stimuler l'investissement, se heurte aux réalités économiques de nombreuses familles marocaines. Ce débat pourrait bien redéfinir l'avenir du secteur éducatif privé au Maroc, et le rôle du ministère dans la protection des intérêts des parents.
Alors que le débat sur la régulation des frais de scolarité dans les écoles privées continue, il devient clair que la transparence et la qualité devront être au cœur des réformes à venir pour rétablir l'équilibre entre les besoins des familles et led offres des écoles.
Lors d'une réponse écrite adressée au groupe parlementaire du Progrès et du Socialisme, Benmoussa a souligné que la régulation des frais dans ces établissements relève de la loi n° 06.00, qui confère aux institutions privées la liberté de fixer leurs prix en fonction de l'offre et de la demande.
Cette législation, qui est soutenue par la loi sur la liberté des prix et la concurrence, vise à encourager la diversité des services éducatifs tout en incitant les établissements à maintenir et à améliorer la qualité de leur offre. Toutefois, cette situation met de nombreux parents en difficulté, ces derniers étant confrontés à des augmentations de prix souvent injustifiées selon eux, sans qu'ils ne puissent véritablement peser sur les décisions prises par les établissements.
Face à cette réalité, le ministre a annoncé que son département travaille sur la mise en place d'un label de qualité qui permettra aux parents de mieux évaluer les établissements privés avant d'y inscrire leurs enfants. Ce label devrait apporter plus de transparence sur la qualité de l'enseignement, offrant ainsi une base plus solide pour justifier les frais demandés.
En parallèle, Benmoussa a insisté sur l'importance de l'amélioration continue du système éducatif public, avec pour objectif de restaurer la confiance des familles marocaines envers ce dernier. De plus, un contrat-type est en préparation pour clarifier les relations entre les établissements privés et les parents, avec l'objectif d'assurer une plus grande transparence et de définir clairement les obligations de chaque partie, notamment en ce qui concerne les frais de scolarité et les procédures administratives.
La question de la régulation des frais de scolarité dans les écoles privées reste donc une problématique complexe, où la liberté des prix, bien qu'essentielle pour maintenir la concurrence et stimuler l'investissement, se heurte aux réalités économiques de nombreuses familles marocaines. Ce débat pourrait bien redéfinir l'avenir du secteur éducatif privé au Maroc, et le rôle du ministère dans la protection des intérêts des parents.
Alors que le débat sur la régulation des frais de scolarité dans les écoles privées continue, il devient clair que la transparence et la qualité devront être au cœur des réformes à venir pour rétablir l'équilibre entre les besoins des familles et led offres des écoles.