Les facteurs du terrain et du soutien du public n'ont pas suffi à permettre à l’équipe nationale de basketball de relever le défi de la qualification pour l’Afrobasket 2025. Depuis le début des éliminatoires, les hommes de Labib El Hamrani ont enchaîné les défaites, et la dernière journée à Rabat n’a pas dérogé à cette règle.
Privé du vétéran Abderrahim Najah, sérieusement blessé en entraînement, le sélectionneur a fait appel à Soufiane Kourdou, Abdelhakim Zouita et Kevin Franceschi pour renforcer l’équipe. L’expérience de ces joueurs était censée apporter un plus face aux redoutables adversaires que sont le Sud-Soudan, la RD Congo et le Mali.
Cependant, lors du premier match contre le Sud-Soudan, les coéquipiers de Kourdou ont été dominés, s’inclinant 55-72, avec une nette différence de niveau. Ce constat a été confirmé lors du second match contre la RD Congo, où le Maroc a perdu 55-66. Le dernier match contre le Mali, prévu dimanche, ne représentait plus qu’une formalité, le Maroc étant déjà éliminé de la course.
Ce nouvel échec est symptomatique du mal profond qui touche le basketball marocain depuis une décennie. En dépit des quelques succès de clubs comme l’AS Salé ou de la sélection locale lors de l’AfroCan, ces éclats ne masquent pas les failles structurelles du basketball national. Manquements en gestion, formation et compétitions locales sont régulièrement dénoncés. Cette élimination pourrait offrir à la Fédération Royale Marocaine de Basketball une opportunité de reconstruire la discipline sur des bases solides en vue des prochaines années.
Privé du vétéran Abderrahim Najah, sérieusement blessé en entraînement, le sélectionneur a fait appel à Soufiane Kourdou, Abdelhakim Zouita et Kevin Franceschi pour renforcer l’équipe. L’expérience de ces joueurs était censée apporter un plus face aux redoutables adversaires que sont le Sud-Soudan, la RD Congo et le Mali.
Cependant, lors du premier match contre le Sud-Soudan, les coéquipiers de Kourdou ont été dominés, s’inclinant 55-72, avec une nette différence de niveau. Ce constat a été confirmé lors du second match contre la RD Congo, où le Maroc a perdu 55-66. Le dernier match contre le Mali, prévu dimanche, ne représentait plus qu’une formalité, le Maroc étant déjà éliminé de la course.
Ce nouvel échec est symptomatique du mal profond qui touche le basketball marocain depuis une décennie. En dépit des quelques succès de clubs comme l’AS Salé ou de la sélection locale lors de l’AfroCan, ces éclats ne masquent pas les failles structurelles du basketball national. Manquements en gestion, formation et compétitions locales sont régulièrement dénoncés. Cette élimination pourrait offrir à la Fédération Royale Marocaine de Basketball une opportunité de reconstruire la discipline sur des bases solides en vue des prochaines années.