Le rapport 2024 des Nations Unies sur l’e-gouvernement a placé le Maroc en 90e position mondiale, une progression de 11 places par rapport à 2022. Cette amélioration s'inscrit dans un contexte où la transformation numérique des administrations publiques est devenue un enjeu majeur pour les gouvernements dans le monde entier. Avec un score de 68,41/100, le Royaume se positionne désormais comme l'un des leaders africains, occupant la quatrième place à l’échelle continentale.
Cette avancée témoigne des efforts du Maroc en matière de digitalisation des services publics, un domaine qui revêt une importance politique croissante. L'e-gouvernement améliore la transparence, l'efficacité administrative et l'accès des citoyens aux services publics. Économiquement, cela pourrait attirer davantage d'investissements étrangers, car une administration plus fluide est souvent perçue comme un signe de stabilité. Socialement, cette progression pourrait également renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions. Comparé à d'autres pays africains, le Maroc se distingue, bien que des défis subsistent pour rattraper des nations plus avancées, comme l'Estonie, qui est un modèle en matière d’e-gouvernement.
La progression du Maroc dans le classement de l’e-gouvernement montre les bénéfices d’une transition numérique bien planifiée. À court terme, cette dynamique pourrait continuer à renforcer l’image du Maroc à l’international, mais à long terme, des efforts supplémentaires seront nécessaires pour garantir une digitalisation plus inclusive et accessible à tous les citoyens.
Cette avancée témoigne des efforts du Maroc en matière de digitalisation des services publics, un domaine qui revêt une importance politique croissante. L'e-gouvernement améliore la transparence, l'efficacité administrative et l'accès des citoyens aux services publics. Économiquement, cela pourrait attirer davantage d'investissements étrangers, car une administration plus fluide est souvent perçue comme un signe de stabilité. Socialement, cette progression pourrait également renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions. Comparé à d'autres pays africains, le Maroc se distingue, bien que des défis subsistent pour rattraper des nations plus avancées, comme l'Estonie, qui est un modèle en matière d’e-gouvernement.
La progression du Maroc dans le classement de l’e-gouvernement montre les bénéfices d’une transition numérique bien planifiée. À court terme, cette dynamique pourrait continuer à renforcer l’image du Maroc à l’international, mais à long terme, des efforts supplémentaires seront nécessaires pour garantir une digitalisation plus inclusive et accessible à tous les citoyens.