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Un exemple récent largement médiatisé concerne une animatrice radio, victime de harcèlement en ligne par un individu, qui a pu obtenir justice grâce à la plateforme E-Blagh. Après avoir déposé une plainte via cette plateforme, les forces de la sûreté nationale ont localisé et arrêté l'auteur du harcèlement, engageant ainsi des poursuites judiciaires.
Depuis son lancement en juin, E-Blagh a déjà traité 7 083 signalements concernant des contenus illicites en ligne, selon la DGSN. Parmi ces signalements, 60 % concernaient des escroqueries numériques, 20 % des cas de chantage sexuel, et 10 % des insultes ou diffamations. De plus, 5 % des signalements portaient sur des menaces de violence ou leur usage, tandis que les 5 % restants concernaient des incitations à commettre des crimes, le trafic de produits illicites et l'exploitation sexuelle.
En plus des infractions courantes, la DGSN indique qu'E-Blagh a également reçu 295 signalements liés à des actes d'apologie ou d'incitation au terrorisme, dont 85 concernant spécifiquement la promotion de l'organisation terroriste Daesh. Tous ces signalements ont été traités avec la plus grande rigueur, donnant lieu à des enquêtes approfondies.
Le processus de traitement des plaintes est particulièrement strict. Les équipes techniques d'E-Blagh réalisent des analyses détaillées avant de transmettre les dossiers aux services de police judiciaire compétents. Grâce à cette coordination, 82 personnes ont été identifiées comme suspectes dans des affaires de cybercriminalité, dont 23 ont déjà été traduites en justice. Par ailleurs, des mandats d'arrêt nationaux ont été émis contre neuf suspects, tandis que les enquêtes se poursuivent pour les autres.
La plateforme E-Blagh bénéficie d'une forte adhésion des citoyens. Sur les 7 083 signalements enregistrés, 4 117 incluaient des informations complètes sur l'identité des auteurs présumés, démontrant le niveau de confiance accordé à ce service. De plus, 564 signalements provenaient de l'étranger, notamment de pays européens, asiatiques, du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, illustrant l'influence croissante de cet outil au niveau international.
Cette plateforme marque un tournant dans la vision de la DGSN concernant la sécurité numérique. L'objectif est clair : faire d'E-Blagh un élément central dans la lutte contre les crimes technologiques, en encourageant les citoyens à participer activement à la protection de l'espace en ligne. En offrant à chacun la possibilité de signaler des contenus illicites ou dangereux, la DGSN instaure une collaboration authentique entre citoyens et forces de l'ordre, visant à rendre internet plus sûr pour tous.
E-Blagh ne se contente pas de recueillir des informations ; elle incarne une nouvelle ère de sécurité participative où chaque citoyen joue un rôle essentiel dans la protection de la société contre les menaces numériques. Grâce à cette initiative, le Maroc avance vers un web plus sécurisé et respectueux des droits de chacun, tout en renforçant la confiance entre la population et les autorités.
Depuis son lancement en juin, E-Blagh a déjà traité 7 083 signalements concernant des contenus illicites en ligne, selon la DGSN. Parmi ces signalements, 60 % concernaient des escroqueries numériques, 20 % des cas de chantage sexuel, et 10 % des insultes ou diffamations. De plus, 5 % des signalements portaient sur des menaces de violence ou leur usage, tandis que les 5 % restants concernaient des incitations à commettre des crimes, le trafic de produits illicites et l'exploitation sexuelle.
En plus des infractions courantes, la DGSN indique qu'E-Blagh a également reçu 295 signalements liés à des actes d'apologie ou d'incitation au terrorisme, dont 85 concernant spécifiquement la promotion de l'organisation terroriste Daesh. Tous ces signalements ont été traités avec la plus grande rigueur, donnant lieu à des enquêtes approfondies.
Le processus de traitement des plaintes est particulièrement strict. Les équipes techniques d'E-Blagh réalisent des analyses détaillées avant de transmettre les dossiers aux services de police judiciaire compétents. Grâce à cette coordination, 82 personnes ont été identifiées comme suspectes dans des affaires de cybercriminalité, dont 23 ont déjà été traduites en justice. Par ailleurs, des mandats d'arrêt nationaux ont été émis contre neuf suspects, tandis que les enquêtes se poursuivent pour les autres.
La plateforme E-Blagh bénéficie d'une forte adhésion des citoyens. Sur les 7 083 signalements enregistrés, 4 117 incluaient des informations complètes sur l'identité des auteurs présumés, démontrant le niveau de confiance accordé à ce service. De plus, 564 signalements provenaient de l'étranger, notamment de pays européens, asiatiques, du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, illustrant l'influence croissante de cet outil au niveau international.
Cette plateforme marque un tournant dans la vision de la DGSN concernant la sécurité numérique. L'objectif est clair : faire d'E-Blagh un élément central dans la lutte contre les crimes technologiques, en encourageant les citoyens à participer activement à la protection de l'espace en ligne. En offrant à chacun la possibilité de signaler des contenus illicites ou dangereux, la DGSN instaure une collaboration authentique entre citoyens et forces de l'ordre, visant à rendre internet plus sûr pour tous.
E-Blagh ne se contente pas de recueillir des informations ; elle incarne une nouvelle ère de sécurité participative où chaque citoyen joue un rôle essentiel dans la protection de la société contre les menaces numériques. Grâce à cette initiative, le Maroc avance vers un web plus sécurisé et respectueux des droits de chacun, tout en renforçant la confiance entre la population et les autorités.