Créée en 2003, cette pièce culte, qui explore avec humour et sensibilité les aléas du divorce et des relations humaines, continue de séduire les spectateurs à travers le monde. Cette tournée, prévue à Casablanca et Marrakech, promet d’être un moment fort pour l’auteur et son public, avec des représentations riches en rires et en émotions.
Un succès universel et intemporel
« Le Clan des divorcés » est bien plus qu’une simple comédie. Avec ses trois personnages féminins hauts en couleur, une bourgeoise coincée, une anglaise exubérante et une rurale brute mais attachante, la pièce aborde avec légèreté des sujets délicats comme le divorce, tout en brisant les stéréotypes. Jouée dans 16 langues et sur plusieurs continents, elle a su toucher un public varié grâce à l’universalité de ses thèmes et la diversité sociale de ses personnages. Alil Vardar attribue ce succès à la capacité de son œuvre à refléter des situations que chacun peut reconnaître.
Un succès universel et intemporel
« Le Clan des divorcés » est bien plus qu’une simple comédie. Avec ses trois personnages féminins hauts en couleur, une bourgeoise coincée, une anglaise exubérante et une rurale brute mais attachante, la pièce aborde avec légèreté des sujets délicats comme le divorce, tout en brisant les stéréotypes. Jouée dans 16 langues et sur plusieurs continents, elle a su toucher un public varié grâce à l’universalité de ses thèmes et la diversité sociale de ses personnages. Alil Vardar attribue ce succès à la capacité de son œuvre à refléter des situations que chacun peut reconnaître.
« Ces personnages sont des archétypes universels. Peu importe où l’on se trouve, on connaît tous une amie coincée ou une autre très excentrique », explique-t-il.
Le Maroc, une destination chère au cœur d’Alil Vardar
Pour l’auteur, le Maroc n’est pas une simple étape de tournée. Ayant grandi à Bruxelles dans un quartier marocain, il entretient un lien particulier avec ce pays et sa culture. « Quand je viens au Maroc, je ne me sens jamais à l’étranger. J’ai l’impression de rendre visite à une tante », confie-t-il. Marrakech, notamment, occupe une place spéciale dans son cœur : « C’est un lieu où je me ressource. L’énergie et la générosité du public marocain rendent chaque représentation unique. »
Un regard sur la création artistique
Toujours inspiré par sa propre vie et les histoires de son entourage, Alil Vardar puise dans les relations humaines pour écrire ses pièces. « Les relations de couple, les familles recomposées ou encore les rencontres improbables sont des thèmes qui me fascinent », avoue-t-il. Son objectif ? Faire rire tout en poussant à la réflexion. « L’humour permet de transformer les épreuves en espoir. Mes comédies sont des miroirs de la société, où chacun peut se reconnaître », ajoute-t-il.
Les spectateurs marocains pourront découvrir ou redécouvrir cette comédie culte les 10 et 11 décembre prochains à Casablanca et Marrakech. Une occasion unique de partager un moment de rire et d’émotion avec un auteur profondément attaché au Maroc.