Il faut cesser de faire croire que l’hydroxy-chloroquine (HCQ) est toxique, et même mortelle !
Aux posologies utilisées en chimioprophylaxie associée, en Afrique, devant des cas Covid-19 symptomatiques bénins (500 à 600 mg / jour durant 10 jours), l’HCQ n’a ni cardiotoxicité, ni toxicité oculaire. Et dans l’hypothèse où il pourrait advenir des effets indésirables, ils sont réversibles à l’arrêt du traitement.
Une grave dérive politique a interdit la médecine aux médecins de ville, au nom de la statistique et de l’épidémiologie, et désarmé la prescription médicale, même celle des médecins hospitaliers, vers lesquels avaient été détournés les « malades » atteints de Covid-19. Le leader en la matière a été la France.
De nombreuses voix ont écumé les médias pour expliquer le pourquoi et le comment de ce non-sens. Et progressivement, dans le doute, toute l’Europe a abandonné les dérivés de cette bonne vieille molécule, qu’est la quinine, au nom de la méthode scientifique.
L’Afrique a résisté. Partout on y associe un dérivé de la quinine à faible dose, pour diminuer la charge virale des cas Covid-19 symptomatiques : Chloroquine, HCQ ou Artemisia. Mais les médecins africains n’ont pas la parole pour exposer leurs résultats. Ils n’osent pas parler de peur d’être lynchés par les médias français, comme l’a été le Pr Didier Raoult.
Si on s’intéresse aux chiffres bruts, on peut remarquer que la létalité la plus forte se situe en Europe et Amérique du Nord, et hormis l’Asie, la létalité la plus faible se trouve en Afrique et Amérique du sud, malgré les insuffisances de structures sanitaires, de tests, de soignants … où se situe donc la mortalité des dérivés de la quinine ?
| Nb de positifs | Nb de décès | Létalité |
Total monde | 31 629 960 | 971 800 | 3,1% |
Asie | 10 774 928 | 199 754 | 1,8% |
Amérique du Nord | 8 407 370 | 299 808 | 3,5% |
Europe | 5 043 360 | 228 145 | 4,5% |
Afrique | 1 415 428 | 34 107 | 2,4% |
Amérique du sud | 640 147 | 13 482 | 2,1% |
Océanie | 29 305 | 887 | 3,0% |
Australie | 26 942 | 854 | 3,2% |
Alors « au diable l’avarice et les avaricieux », au diable la toxicité de ceux qui prônent la méthode scientifique pure et dure, la dictature des statistiques, des épidémiologistes, et leurs projections sataniques. Rendez la médecine aux médecins, tout le reste n’est que littérature.
Professeur Aziza Benkirane
NDLR : Mais alors comment interpréter cette information sur l'AFP
Réaction du Professeur Aziza Benkirane :
Pourquoi les pays où circule encore le paludisme (malaria) seraient ils épargnés par le Covid-19 ?
C'est un résonnement par l'absurde.
1-Toute la population de ces pays n'est pas infectée, et en permanence par le paludisme
2-La nivaquine n'est administrée qu'aux personnes atteintes par le paludisme , durant l'atteinte, et pour certaines souches seulement.
3-De plus personne n'a jamais dit que l'hydroxychloroquine à elle seule guérissait le Covid-19. Elle diminue seulement la charge virale et sa durée, et de ce fait diminue très probablement les complications.