Après trois jours d’audience début février, la juridiction sportive a estimé que le contrôle positif de l’ex-N.1 mondiale, lauréate de Roland-Garros 2018, venait d’un « supplément contaminé », et que les anomalies de son passeport biologique ne suffisaient pas à prouver une conduite dopante, selon un communiqué.
Le TAS a donc désavoué l’ITIA, qui avait sanctionné Simona Halep le 22 septembre 2023, et réclamait dans cette procédure arbitrale « une période de suspension allant de quatre à six ans » contre la double lauréate en Grand Chelem.
La juridiction de Lausanne promet de préciser « dès que possible » les conséquences pratiques de sa décision, soit une suspension allant du 7 octobre 2022 au 6 juillet 2023 – déjà purgée avant même que Simona Halep fasse appel – et l’annulation de tous ses résultats entre le 29 août 2022 et le 7 octobre 2022.
Le TAS a donc désavoué l’ITIA, qui avait sanctionné Simona Halep le 22 septembre 2023, et réclamait dans cette procédure arbitrale « une période de suspension allant de quatre à six ans » contre la double lauréate en Grand Chelem.
La juridiction de Lausanne promet de préciser « dès que possible » les conséquences pratiques de sa décision, soit une suspension allant du 7 octobre 2022 au 6 juillet 2023 – déjà purgée avant même que Simona Halep fasse appel – et l’annulation de tous ses résultats entre le 29 août 2022 et le 7 octobre 2022.