Le franc-jeu diplomatique
Un changement de vocabulaire...alléguer que toute diplomatie est louvoiement, ton mielleux, salamalecs, en veux-tu en voilà, serait-ce aux ingrats, est se tromper et bougrement.
Si l'hypocrisie est base de toute civilisation, la diplomatie se nourrit ailleurs...en tout cas la nôtre. Qu'est-ce qu'un philosophe si ce n'est celui à même de nous "payer" d'un exemple ?
Ici, on ne tire pas au sort, tant la diplomatie marocaine s'oppose à tout arbitraire.
N'est-ce pas que l'on ne soit à l'abri...d'un choix, que le Maroc aurait pu se résigner à la maxime "Motus, bouche cousue" passer sous pas de danse diplomatique les tergiversations espagnoles...
Gober les lapalissades attitrées " causa humanitaria", et les concisions expéditifs : " Nous ne pouvons dire davantage", et tout le chant à castagnettes du "partenaire"...mot resté à la bouche, alors que le coeur est ailleurs...chez les risibles.
Est-ce être hypocrite que d'être diplomate ? il est grand temps de se tromper. Et le Maroc a sitôt fait de renverser la table, et avec elle , ciel et terre.
Bien sûr l'Espagne victimaire, ameuta l'Europe, sur un "volet" accessoire, de diversion commune, une vague déferlée et ses immigrants aux portes de l'Europe. Est-ce peu de choses que le Maroc ?
L'heure des leçons
L'Europe, ne devrait-elle pas se mêler d'abord de l'Europe ? Et de voir, un réchappé de justice, poser pied, identité voilée, serait-ce aux militaires présent sur " base", avec l'accointance des seules affaires étrangères...
Ose-t-on toujours parler "sécurité" sur les fauteuils douillets des enceintes parlementaires et européennes ?
Quelle aurait été la "surchauffe" européenne, si l'un des leurs, sous mandat d'arrêt, se serait acoquiné de la sorte avec l'un des 27 ? Voyez le deux poids deux mesures. Voyez si Mesrine fut accueilli, les bras ouverts, de par le pays de Don Juan...Ici comparaison est raison.
Pas même une démission du gouvernement...ces agissements "mafieux" laissent béats nombre de curieux. Ni une, ni deux, la diplomatie marocaine, tira de ces leçons arrivées à maturité.
Une manigance effritée de par nos services de renseignements...ceux-là même qui, moult fois, évitèrent de ces catastrophes à la bombe, à qui vous savez ! Et bonjour gratitude !
La " Baraka " marocaine, doublée de compétences, a pu nous mieux situer...
Feu SM le Roi Hassan II ne dit-il pas " Si tu vois ton ami avec ton ennemi, sache que les deux sont tes ennemis, l'un publiquement l'autre secrètement" et de dire ailleurs, " Nous voulons que le monde sache auprès de quel voisin le bon Dieu nous a ressuscités " en parlant de l'Algérie.
Seul le pragmatisme au menu
De retour à notre diplomatie, son franc-jeu, son souverainisme non-spéculateur, celle-ci ne retoqua-t-elle pas jusqu'à correction ses rapports avec l'Allemagne ?
Que vaut ce contrat de l'hydrogène vert face au Sahara ? Peanuts ! Mal lui en a pris à l'Allemagne de Merkel que d'écarter le "tout" Maroc de la conférence "Berlin 1"... Et le Maroc de bouder " Berlin 2 " sur invitation de l'Allemagne la gaffe.
Pour les non-initiés, ceux pour qui toute diplomatie seraient mots soigneux-boiseux, faites-vous une oreille à prêter à la notre de diplomatie, pour vous changer de "monde" : " La Lybie n'est pas un gâteau diplomatique ", dit le diplomate en chef.... les photos, les forums, les paraphes, vous pouvez garder !
comme " il n'y a pas de solution berlinoise à un problème d'Afrique du Nord..." y-a-t-il plus honnête que cela ? révolu le temps des intermédiaires, le Maroc est déjà en Lybie...de par la sollicitation Lybienne.
Un changement de vocabulaire...alléguer que toute diplomatie est louvoiement, ton mielleux, salamalecs, en veux-tu en voilà, serait-ce aux ingrats, est se tromper et bougrement.
Si l'hypocrisie est base de toute civilisation, la diplomatie se nourrit ailleurs...en tout cas la nôtre. Qu'est-ce qu'un philosophe si ce n'est celui à même de nous "payer" d'un exemple ?
Ici, on ne tire pas au sort, tant la diplomatie marocaine s'oppose à tout arbitraire.
N'est-ce pas que l'on ne soit à l'abri...d'un choix, que le Maroc aurait pu se résigner à la maxime "Motus, bouche cousue" passer sous pas de danse diplomatique les tergiversations espagnoles...
Gober les lapalissades attitrées " causa humanitaria", et les concisions expéditifs : " Nous ne pouvons dire davantage", et tout le chant à castagnettes du "partenaire"...mot resté à la bouche, alors que le coeur est ailleurs...chez les risibles.
Est-ce être hypocrite que d'être diplomate ? il est grand temps de se tromper. Et le Maroc a sitôt fait de renverser la table, et avec elle , ciel et terre.
Bien sûr l'Espagne victimaire, ameuta l'Europe, sur un "volet" accessoire, de diversion commune, une vague déferlée et ses immigrants aux portes de l'Europe. Est-ce peu de choses que le Maroc ?
L'heure des leçons
L'Europe, ne devrait-elle pas se mêler d'abord de l'Europe ? Et de voir, un réchappé de justice, poser pied, identité voilée, serait-ce aux militaires présent sur " base", avec l'accointance des seules affaires étrangères...
Ose-t-on toujours parler "sécurité" sur les fauteuils douillets des enceintes parlementaires et européennes ?
Quelle aurait été la "surchauffe" européenne, si l'un des leurs, sous mandat d'arrêt, se serait acoquiné de la sorte avec l'un des 27 ? Voyez le deux poids deux mesures. Voyez si Mesrine fut accueilli, les bras ouverts, de par le pays de Don Juan...Ici comparaison est raison.
Pas même une démission du gouvernement...ces agissements "mafieux" laissent béats nombre de curieux. Ni une, ni deux, la diplomatie marocaine, tira de ces leçons arrivées à maturité.
Une manigance effritée de par nos services de renseignements...ceux-là même qui, moult fois, évitèrent de ces catastrophes à la bombe, à qui vous savez ! Et bonjour gratitude !
La " Baraka " marocaine, doublée de compétences, a pu nous mieux situer...
Feu SM le Roi Hassan II ne dit-il pas " Si tu vois ton ami avec ton ennemi, sache que les deux sont tes ennemis, l'un publiquement l'autre secrètement" et de dire ailleurs, " Nous voulons que le monde sache auprès de quel voisin le bon Dieu nous a ressuscités " en parlant de l'Algérie.
Seul le pragmatisme au menu
De retour à notre diplomatie, son franc-jeu, son souverainisme non-spéculateur, celle-ci ne retoqua-t-elle pas jusqu'à correction ses rapports avec l'Allemagne ?
Que vaut ce contrat de l'hydrogène vert face au Sahara ? Peanuts ! Mal lui en a pris à l'Allemagne de Merkel que d'écarter le "tout" Maroc de la conférence "Berlin 1"... Et le Maroc de bouder " Berlin 2 " sur invitation de l'Allemagne la gaffe.
Pour les non-initiés, ceux pour qui toute diplomatie seraient mots soigneux-boiseux, faites-vous une oreille à prêter à la notre de diplomatie, pour vous changer de "monde" : " La Lybie n'est pas un gâteau diplomatique ", dit le diplomate en chef.... les photos, les forums, les paraphes, vous pouvez garder !
comme " il n'y a pas de solution berlinoise à un problème d'Afrique du Nord..." y-a-t-il plus honnête que cela ? révolu le temps des intermédiaires, le Maroc est déjà en Lybie...de par la sollicitation Lybienne.