Le discours a débuté par des remerciements aux participants, mettant en avant le dévouement de Farida, l'organisatrice de l'événement. Le conférencier a évoqué les ruptures croissantes entre le Nord et le Sud, ainsi que les rivalités géopolitiques qui exacerbent les tensions mondiales. Il a également abordé des crises économiques, climatiques et sanitaires qui affectent l'ensemble de la planète, soulignant les défis liés à la domination technologique.

Un point central de la discussion a été l'intensification des tensions internationales et l'importance de la mémoire historique pour les pays anciennement colonisés. Le conférencier a insisté sur le fait que la contestation internationale révèle des injustices persistantes, et que la loi du plus fort ne peut plus être tolérée. Il a plaidé pour la création de nouveaux espaces de dialogue, où les pays du Sud pourraient maîtriser leur mémoire historique pour avancer sereinement dans leur affranchissement du passé colonial.

L'histoire, selon le conférencier, joue un rôle structurant dans les relations entre les peuples, influençant à la fois le présent et l'avenir. En intégrant ces leçons du passé, les nations peuvent forger des alliances plus solides et construire un monde plus équitable.