Une profession atypique
Au début, la plateforme a été créée pour être un site de rencontres reposant sur l’utilisation des vidéos, mais les créateurs ont changé leurs visions, quelques jours après son lancement public. En effet, la première vidéo de YouTube est Me at the zoo, dans laquelle Jawed Karim commente sa visite au zoo de San Diego (la vidéo a été mise en ligne le 23 avril 2005).
Avec le temps, les passionnées de cinéma et de création ont commencé à partager des vidéos sous forme de vlogs, de clips et de skits. En parallèle, la plateforme attirait des sponsors et des investisseurs. Grâce à cela, la Youtube a connu un essor et a décidé de payer les créateurs de contenus en se basant sur plusieurs critères, nombre de fans, l’engagement ainsi que la durée des vidéos.
Certains youtubeurs ont pu créer des carrières impressionnantes et assurer une vie de luxe, mais qu’est ce qui se cache derrière ce métier ?
La réalité derrière ce métier
En regardant le contenu des youtubeurs, les fans ont l’impression que ces personnes gagnent beaucoup d’argent en partageant des vidéos sur la plateforme. Des voitures de luxe, de multiples voyages et des maisons à couper le souffle, cette vie « facile » attire l’attention des jeunes. En effet, comme toute personne qui utilise les réseaux sociaux, les créateurs de contenu ne partagent que le côté positif de ce style de vie. Le harcèlement, le montage, la sélection d’idées originales ainsi que la recherche de sponsors sont la face cachée de ce métier. Etaler sa vie sur Internet a d’énormes effets négatifs sur la santé mentale et physique.
Dans une ère où tout le monde a accès à Youtube et peut créer une chaîne, se démarquer est devenu très difficile.
Les youtubeurs au Maroc
Les youtubeurs étrangers ont été une source d’inspiration pour les créateurs de contenus marocains. Amine Raghib, Farah Achbabe et Aji Nswlek, parmi d’autres, partagent des vidéos très intéressantes et instructives sur Youtube. Cependant, une tendance digitale a ruiné le Youtube marocain. "Routini Al Yawmi" ou "ma routine quotidienne" est le côté sombre de la plateforme au niveau national. Ces individus influencent négativement la jeunesse marocaine et impact toute une génération. Pour cette raison, il faut penser à réglementer le partage de ce contenu ainsi que les revenus.
Au début, la plateforme a été créée pour être un site de rencontres reposant sur l’utilisation des vidéos, mais les créateurs ont changé leurs visions, quelques jours après son lancement public. En effet, la première vidéo de YouTube est Me at the zoo, dans laquelle Jawed Karim commente sa visite au zoo de San Diego (la vidéo a été mise en ligne le 23 avril 2005).
Avec le temps, les passionnées de cinéma et de création ont commencé à partager des vidéos sous forme de vlogs, de clips et de skits. En parallèle, la plateforme attirait des sponsors et des investisseurs. Grâce à cela, la Youtube a connu un essor et a décidé de payer les créateurs de contenus en se basant sur plusieurs critères, nombre de fans, l’engagement ainsi que la durée des vidéos.
Certains youtubeurs ont pu créer des carrières impressionnantes et assurer une vie de luxe, mais qu’est ce qui se cache derrière ce métier ?
La réalité derrière ce métier
En regardant le contenu des youtubeurs, les fans ont l’impression que ces personnes gagnent beaucoup d’argent en partageant des vidéos sur la plateforme. Des voitures de luxe, de multiples voyages et des maisons à couper le souffle, cette vie « facile » attire l’attention des jeunes. En effet, comme toute personne qui utilise les réseaux sociaux, les créateurs de contenu ne partagent que le côté positif de ce style de vie. Le harcèlement, le montage, la sélection d’idées originales ainsi que la recherche de sponsors sont la face cachée de ce métier. Etaler sa vie sur Internet a d’énormes effets négatifs sur la santé mentale et physique.
Dans une ère où tout le monde a accès à Youtube et peut créer une chaîne, se démarquer est devenu très difficile.
Les youtubeurs au Maroc
Les youtubeurs étrangers ont été une source d’inspiration pour les créateurs de contenus marocains. Amine Raghib, Farah Achbabe et Aji Nswlek, parmi d’autres, partagent des vidéos très intéressantes et instructives sur Youtube. Cependant, une tendance digitale a ruiné le Youtube marocain. "Routini Al Yawmi" ou "ma routine quotidienne" est le côté sombre de la plateforme au niveau national. Ces individus influencent négativement la jeunesse marocaine et impact toute une génération. Pour cette raison, il faut penser à réglementer le partage de ce contenu ainsi que les revenus.