« Dessalement : La solution magique ou un Mirage écologique ? »
L'événement a débuté par une introduction sur l'importance du dessalement, animée par des spécialistes en ressources en eau et des responsables d'organisations pertinentes. Le ministre a souligné les dimensions économiques de cette technologie, suivies d'une présentation technique d'un expert. L'Institut méditerranéen de l'eau a également été introduit comme une plateforme facilitant le dialogue sur la gestion de l'eau.
Les initiatives de dessalement au Maroc ont été mises en avant, avec des projets ambitieux visant à garantir l'approvisionnement en eau. Parmi eux, une méga station de dessalement à Rabat, capable de traiter 300 millions de mètres cubes par an, a été présentée. L'Office Chérifien des Phosphates (OCP) prévoit également de mobiliser 500 millions de mètres cubes d'eau par an grâce à des solutions de dessalement, tout en intégrant la réutilisation des eaux usées pour soutenir l'agriculture.
Cependant, des défis juridiques et organisationnels subsistent, notamment au sein de l'Office national de l'électricité (ONÉ). Les intervenants ont discuté des inégalités dans la gestion de l'eau potable par rapport à celle de l'électricité, soulignant la nécessité d'un cadre juridique adéquat.
Les préoccupations environnementales entourant le dessalement ont également été abordées. Des experts ont mis en lumière les impacts négatifs potentiels, tels que la pollution des nappes phréatiques et les coûts écologiques associés. Il a été souligné que la gestion durable de l'eau est essentielle face à la demande croissante.
Le dessalement est perçu comme une solution clé pour assurer la sécurité d'approvisionnement en eau, surpassant même le coût de l'eau dans un avenir où cette ressource devient de plus en plus rare. Les intervenants ont exprimé l'espoir que le Maroc puisse allier dessalement et énergies renouvelables pour créer des « oasis du futur ».
Enfin, la loi marocaine sur l'eau de 2016 a été présentée comme un pas vers une nouvelle gouvernance de l'eau, visant à garantir l'accès à cette ressource et à promouvoir l'équité. Les discussions ont également porté sur l'importance des partenariats public-privé et de la décentralisation dans la gestion des ressources en eau.
Les initiatives de dessalement au Maroc ont été mises en avant, avec des projets ambitieux visant à garantir l'approvisionnement en eau. Parmi eux, une méga station de dessalement à Rabat, capable de traiter 300 millions de mètres cubes par an, a été présentée. L'Office Chérifien des Phosphates (OCP) prévoit également de mobiliser 500 millions de mètres cubes d'eau par an grâce à des solutions de dessalement, tout en intégrant la réutilisation des eaux usées pour soutenir l'agriculture.
Cependant, des défis juridiques et organisationnels subsistent, notamment au sein de l'Office national de l'électricité (ONÉ). Les intervenants ont discuté des inégalités dans la gestion de l'eau potable par rapport à celle de l'électricité, soulignant la nécessité d'un cadre juridique adéquat.
Les préoccupations environnementales entourant le dessalement ont également été abordées. Des experts ont mis en lumière les impacts négatifs potentiels, tels que la pollution des nappes phréatiques et les coûts écologiques associés. Il a été souligné que la gestion durable de l'eau est essentielle face à la demande croissante.
Le dessalement est perçu comme une solution clé pour assurer la sécurité d'approvisionnement en eau, surpassant même le coût de l'eau dans un avenir où cette ressource devient de plus en plus rare. Les intervenants ont exprimé l'espoir que le Maroc puisse allier dessalement et énergies renouvelables pour créer des « oasis du futur ».
Enfin, la loi marocaine sur l'eau de 2016 a été présentée comme un pas vers une nouvelle gouvernance de l'eau, visant à garantir l'accès à cette ressource et à promouvoir l'équité. Les discussions ont également porté sur l'importance des partenariats public-privé et de la décentralisation dans la gestion des ressources en eau.