Dans le cadre de l’élaboration du nouveau projet de loi portant sur l’organisation de la profession des Adouls, le ministère de la Justice a réformé le fameux "Lafif adli", donnant ainsi à la femme le droit de faire valoir sa voix autant qu’un homme. A noter que jusqu'à présent dans un témoignage collectif devant un notaire religieux, le témoignage d'un homme valait celui de deux femmes. Et d'ajouter que le Conseil supérieur des oulémas, qui était jusque-là réticent vis-à-vis de cette revendication, a lui-même a cautionné cette réforme.
Avec MAP
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