Ce sont là, quelques-unes des données des statistiques pour 2021 et les dix premiers mois de 2022 fournies à EFE par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), qui gère les retours volontaires en coordination avec le Maroc et les pays d’origine.
Entre 2021 et la mi-décembre 2022, l’OIM a aidé 56 Soudanais à rentrer volontairement au Soudan, dont 48 l’ont fait au cours de cette année. Toutefois, tous ne sont pas des Soudanais, dans le lot des volontaires au retour à la mère-patrie.
On retrouve et en grande majorité des émigrés de différentes nationalités comme des Ivoiriens, des Guinéens, des Sénégalais, des Maliens ainsi que des Camerounais entre autres subsahariens
Pour engager un processus de retour volontaire, qui peut durer jusqu’à quatre semaines, les intéressés doivent se présenter aux bureaux de l’Organisation internationale pour les migrations à Rabat, Casablanca ou Oujda, et devant les ONG associées à cette organisation internationale dépendante de l’Organisation des Nations unies.
Les responsables de l’Organisation internationale pour les migrations aident les inscrits qui n’ont pas de passeport à obtenir un sauf-conduit auprès de leurs ambassades leur permettant de voyager et le retour vers les leurs.
Le jour du retour, les équipes de l’Organisation internationale pour les migrations les accompagnent à l’aéroport de Casablanca pour identifier leurs besoins. Au cours des deux dernières années, les Soudanais de retour ont reçu plus de 200 types d’aide humanitaire, sous forme d’hébergement, d’assistance médicale et de bons alimentaires.
Avant de planifier un retour volontaire, l’Organisation internationale pour les migrations analyse la situation dans le pays de destination et si le migrant peut rejoindre son pays en toute sécurité et dans la dignité.
Une fois les demandeurs arrivés dans leur pays, les bureaux de l’Organisation internationale pour les migrations et leurs différents partenaires lancent le second volet du programme qui consiste à apporter une aide individuelle et collective à l’émigré pour sa réinsertion dans sa société.
Entre 2021 et la mi-décembre 2022, l’OIM a aidé 56 Soudanais à rentrer volontairement au Soudan, dont 48 l’ont fait au cours de cette année. Toutefois, tous ne sont pas des Soudanais, dans le lot des volontaires au retour à la mère-patrie.
On retrouve et en grande majorité des émigrés de différentes nationalités comme des Ivoiriens, des Guinéens, des Sénégalais, des Maliens ainsi que des Camerounais entre autres subsahariens
Pour engager un processus de retour volontaire, qui peut durer jusqu’à quatre semaines, les intéressés doivent se présenter aux bureaux de l’Organisation internationale pour les migrations à Rabat, Casablanca ou Oujda, et devant les ONG associées à cette organisation internationale dépendante de l’Organisation des Nations unies.
Les responsables de l’Organisation internationale pour les migrations aident les inscrits qui n’ont pas de passeport à obtenir un sauf-conduit auprès de leurs ambassades leur permettant de voyager et le retour vers les leurs.
Le jour du retour, les équipes de l’Organisation internationale pour les migrations les accompagnent à l’aéroport de Casablanca pour identifier leurs besoins. Au cours des deux dernières années, les Soudanais de retour ont reçu plus de 200 types d’aide humanitaire, sous forme d’hébergement, d’assistance médicale et de bons alimentaires.
Avant de planifier un retour volontaire, l’Organisation internationale pour les migrations analyse la situation dans le pays de destination et si le migrant peut rejoindre son pays en toute sécurité et dans la dignité.
Une fois les demandeurs arrivés dans leur pays, les bureaux de l’Organisation internationale pour les migrations et leurs différents partenaires lancent le second volet du programme qui consiste à apporter une aide individuelle et collective à l’émigré pour sa réinsertion dans sa société.