Quand la technologie devient arme : le jour où les bipeurs ont fait boom !
Selon des sources proches du Hezbollah, ces détonations ont été orchestrées par un sabotage informatique, vraisemblablement d'origine israélienne, bien que l'armée israélienne ait refusé de commenter. Ce type d'attaque, visant à infliger des blessures physiques à un grand nombre de personnes à travers des appareils électroniques, est sans précédent dans le paysage des cyberattaques.
Gérôme Billois, expert en cybersécurité, explique que la complexité de cette opération réside dans le fait que les bipeurs sont généralement plus difficiles à pirater que les smartphones. Cependant, deux hypothèses émergent pour expliquer ce sabotage : soit une faille dans le matériel a été exploitée pour provoquer une surchauffe des batteries, soit les appareils ont été piégés dès leur fabrication. La seconde option, bien qu'risquée, permettrait un ciblage précis et une activation à distance.
Cette attaque soulève des préoccupations majeures quant à la sécurité des communications sur le champ de bataille et dans la vie quotidienne. Elle pourrait inciter à repenser les protocoles de sécurité autour des appareils électroniques, rendant les entreprises et les gouvernements plus vulnérables à des actes malveillants similaires à l'avenir.
Gérôme Billois, expert en cybersécurité, explique que la complexité de cette opération réside dans le fait que les bipeurs sont généralement plus difficiles à pirater que les smartphones. Cependant, deux hypothèses émergent pour expliquer ce sabotage : soit une faille dans le matériel a été exploitée pour provoquer une surchauffe des batteries, soit les appareils ont été piégés dès leur fabrication. La seconde option, bien qu'risquée, permettrait un ciblage précis et une activation à distance.
Cette attaque soulève des préoccupations majeures quant à la sécurité des communications sur le champ de bataille et dans la vie quotidienne. Elle pourrait inciter à repenser les protocoles de sécurité autour des appareils électroniques, rendant les entreprises et les gouvernements plus vulnérables à des actes malveillants similaires à l'avenir.