Dans la majorité des pays, le cercueil et la crémation sont les deux techniques funéraires officielles. En effet, ces options impactent l’environnement et génèrent des effets indésirables. Même enterrés, six pieds sous terre, l’homme continue de polluer la planète.
Selon des études, les obsèques sont des sources de gaz à effet de serre et une source de Mercure. Ce dernier est de moins en moins utilisé, mais encore très présent dans les amalgames dentaires. Malheureusement, dans plusieurs pays, ces amalgames ne sont pas retirés avant la crémation. Dans une enquête, l’ancien ingénieur sanitaire au ministère de la Santé en France, Claude Bouriot, a expliqué qu’ « à long terme, l’inhumation est plus polluante ». Les produits chimiques seront diffusés dans les nappes phréatiques après la dégradation du corps et créeront un déséquilibre. S’ajoute à tout cela, la pollution causée par le vernis au polyuréthane utilisé. Pour remédier à cela, plusieurs alternatives ont été présentées.
Selon des études, les obsèques sont des sources de gaz à effet de serre et une source de Mercure. Ce dernier est de moins en moins utilisé, mais encore très présent dans les amalgames dentaires. Malheureusement, dans plusieurs pays, ces amalgames ne sont pas retirés avant la crémation. Dans une enquête, l’ancien ingénieur sanitaire au ministère de la Santé en France, Claude Bouriot, a expliqué qu’ « à long terme, l’inhumation est plus polluante ». Les produits chimiques seront diffusés dans les nappes phréatiques après la dégradation du corps et créeront un déséquilibre. S’ajoute à tout cela, la pollution causée par le vernis au polyuréthane utilisé. Pour remédier à cela, plusieurs alternatives ont été présentées.
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Le carton, la laine, le bambou, l’osier…Plusieurs alternatives sont proposées pour les cercueils ou urnes. Cependant, il s’avère que celui en carton est le moins polluant. En effet, il ne met que 45 minutes pour se consumer. A ajouter que le cercueil en carton est monté par pliage (collage) et donc peut être assemblé par les proches. Il permet donc un dernier moment d’intimité entre le défunt et sa famille.
Des cercueils biodégradables
Certains cercueils sont biodégradables (papier recyclé et sans colle polluante) ou compostables pour qu’ils se décomposent naturellement lors de leur enterrement sans émettre de pollution à travers les sols.
L’arbre de vie
Les designers Italiens Anna Citelli et Raoul Bretzel ont inventé « Capsula Mundi ». Ce dernier est un cercueil biodégradable en dorme d’œuf. L’idée est de placer le corps en position fœtale et de planter un arbre au-dessus de la tombe. Le cercueil sera, en effet, l’engrais et le végétal puisera ses ressources vitales dans le corps enterré pour grandir. Une façon innovante pour faire partie du cycle naturel.
Rokia Dhibat
Rokia Dhibat