Le Mécanisme d'experts sur les droits des peuples autochtones a été créé en 2007. Le MEDPA Est un organe subsidiaire du Conseil des droits de l'homme, créé en 2007, il fournit chaque année une thématique sur une question ou préoccupation des peuples autochtones dans le monde.
Il est composé de sept experts indépendants sur les droits des peuples autochtones représentant sept régions socio-culturelles.Chaque année une session d'une semaine, généralement en juillet, est organisée Chaque année, à laquelle participent des représentants des États, des peuples autochtones, des organisations de peuples autochtones, des membres de la société civile, des organisations intergouvernementales et des membres du corps universitaire.
Chaque session permet au mécanisme de fournir des avis et des conseils techniques sur les droits des peuples autochtones au Conseil des droits de l'homme.
À la 17ème session du Mécanisme, plusieurs organisations et associations marocaines militantes dans divers secteurs étaient présentes, y compris La Voix de la Femme Amazighe et Tamaynut. La Voix de la Femme Amazighe est une association nationale non gouvernementale à but non lucratif créée en 2009, considérée comme la première association qui défend les droits des femmes amazighes, celles qui subissent une double discrimination sexiste et identitaire. Tamaynut est également une organisation non gouvernementale fondée en 1978, dont le but est de défendre et promouvoir les droits linguistiques, culturels et socio-économiques des amazighs.
Dans leurs déclarations, les représentants des associations soulignent qu'ils sont là pour représenter leurs associations qui défendent les droits des amazighs peuple autochtone du Maroc . Ce peuple qui, malgré les efforts fournis, continuent leur lutte quotidienne contre les stéréotypes et la marginalisation. La population amazighe poursuit jusqu'à présent sa lutte pour la reconnaissance et l'obtention de ses droits naturels ainsi que pour la préservation de la langue amazighe et de la culture, qui représentent un patrimoine matériel et immatériel remontant à des siècles lointains et qui est censé être une source de fierté pour le peuple marocain.
La présence de ces associations marocaines amazighes dans un événement de grande ampleur témoigne de l'ambition indomptable des Amazighs pour éliminer les disparités, combattre la discrimination et réclamer haut et fort la mise en œuvre réelle des mesures législatives de la Constitution de 2011.
Il est composé de sept experts indépendants sur les droits des peuples autochtones représentant sept régions socio-culturelles.Chaque année une session d'une semaine, généralement en juillet, est organisée Chaque année, à laquelle participent des représentants des États, des peuples autochtones, des organisations de peuples autochtones, des membres de la société civile, des organisations intergouvernementales et des membres du corps universitaire.
Chaque session permet au mécanisme de fournir des avis et des conseils techniques sur les droits des peuples autochtones au Conseil des droits de l'homme.
À la 17ème session du Mécanisme, plusieurs organisations et associations marocaines militantes dans divers secteurs étaient présentes, y compris La Voix de la Femme Amazighe et Tamaynut. La Voix de la Femme Amazighe est une association nationale non gouvernementale à but non lucratif créée en 2009, considérée comme la première association qui défend les droits des femmes amazighes, celles qui subissent une double discrimination sexiste et identitaire. Tamaynut est également une organisation non gouvernementale fondée en 1978, dont le but est de défendre et promouvoir les droits linguistiques, culturels et socio-économiques des amazighs.
Dans leurs déclarations, les représentants des associations soulignent qu'ils sont là pour représenter leurs associations qui défendent les droits des amazighs peuple autochtone du Maroc . Ce peuple qui, malgré les efforts fournis, continuent leur lutte quotidienne contre les stéréotypes et la marginalisation. La population amazighe poursuit jusqu'à présent sa lutte pour la reconnaissance et l'obtention de ses droits naturels ainsi que pour la préservation de la langue amazighe et de la culture, qui représentent un patrimoine matériel et immatériel remontant à des siècles lointains et qui est censé être une source de fierté pour le peuple marocain.
La présence de ces associations marocaines amazighes dans un événement de grande ampleur témoigne de l'ambition indomptable des Amazighs pour éliminer les disparités, combattre la discrimination et réclamer haut et fort la mise en œuvre réelle des mesures législatives de la Constitution de 2011.