La Commission des relations extérieures et de la défense nationale (CREDN) du Sénat brésilien a adopté un projet de décret portant approbation de l’accord-cadre de coopération en matière de défense avec le Maroc, signé à Brasilia le 13 juin 2019.
Le texte, qui avait déjà été approuvé par la Chambre des députés brésilienne (Chambre basse) à la mi-février 2023, devrait encore être examiné ultérieurement en plénière du Sénat.
L'objectid de cet accord met l’accent sur les domaines de la recherche et du développement et du soutien logistique, en plus de l’objectif d’encourager l’acquisition de produits et services de défense.
Un autre objectif vise à partager les connaissances et l’expérience acquises dans les opérations des forces armées des deux pays, y compris dans les domaines de la science et de la technologie.
L’accord porte également sur la promotion d’actions conjointes d’entraînement et d’instruction militaires, d’exercices militaires conjoints et d’échanges d’informations en la matière.
Il traite en outre de la collaboration dans les systèmes et équipements de défense, a-t-il souligné.
Le texte concerne aussi la mise en œuvre et le développement de programmes d’application des technologies de défense, compte tenu de la participation de l’industrie du secteur dans les deux pays et du transfert de technologie et de savoir-faire entre les deux nations.
Le Projet de décret législatif (PDL) 1101/2021, qui jouit du soutien du gouvernement et de l’opposition, prévoit par ailleurs «l’échange de visites de délégations des deux pays, des échanges d’instructeurs et d’étudiants d’établissements d’enseignement militaire».
L’accord encadre également la participation à des cours théoriques et pratiques, des manifestations culturelles et sportives, l’entraide humanitaire et la formation sanitaire militaire.
Le texte, qui avait déjà été approuvé par la Chambre des députés brésilienne (Chambre basse) à la mi-février 2023, devrait encore être examiné ultérieurement en plénière du Sénat.
L'objectid de cet accord met l’accent sur les domaines de la recherche et du développement et du soutien logistique, en plus de l’objectif d’encourager l’acquisition de produits et services de défense.
Un autre objectif vise à partager les connaissances et l’expérience acquises dans les opérations des forces armées des deux pays, y compris dans les domaines de la science et de la technologie.
L’accord porte également sur la promotion d’actions conjointes d’entraînement et d’instruction militaires, d’exercices militaires conjoints et d’échanges d’informations en la matière.
Il traite en outre de la collaboration dans les systèmes et équipements de défense, a-t-il souligné.
Le texte concerne aussi la mise en œuvre et le développement de programmes d’application des technologies de défense, compte tenu de la participation de l’industrie du secteur dans les deux pays et du transfert de technologie et de savoir-faire entre les deux nations.
Le Projet de décret législatif (PDL) 1101/2021, qui jouit du soutien du gouvernement et de l’opposition, prévoit par ailleurs «l’échange de visites de délégations des deux pays, des échanges d’instructeurs et d’étudiants d’établissements d’enseignement militaire».
L’accord encadre également la participation à des cours théoriques et pratiques, des manifestations culturelles et sportives, l’entraide humanitaire et la formation sanitaire militaire.