lors que la fausse polémique autour des transferts de trois joueurs du Paradou AC vers le Championnat du Qatar (QSL) se tassait, notamment après la sortie d’Amine Labdi (manager du PAC), qui a mis tout le monde d’accord sur le plateau de la chaîne El Hayat-TV, le hurleur de Doha employé de beIN Sports, Hafid Derradji, s’est adonné à un grave dérapage. Il accuse, ni plus ni moins, la direction du club de faire dans la traite des êtres humains et fait, par conséquent, des clubs respectables et crédibles, dirigés par des honorables cheikhs, Al-Markhiya Sports Club, Al-Shamal Sports Club, Muaither Sports Club, les complices de ce commerce !
Sans la moindre précaution, Hafid Derradji a fait sienne les affirmations du café du com- merce sans prendre la peine de procéder aux vérifications nécessaires, notamment concernant l’âge des joueurs. Une sortie ratée qui n’a pas manqué de faire réagir le Paradou AC, qui a rappelé, dans un communiqué publié samedi sur sa page officielle (facebook), que « en déclarant [Hafid Derradji, NDLR] dans cette vidéo que ces trois (3) joueurs transférés sont âgés de moins de 18 ans, ce qui est totalement faux, ce prétendu professionnel a proféré un mensonge aussi odieux qu’inacceptable». D’autant que le commentateur vit à Doha. Ce qui nuit naturellement à l’image de la chaîne qatarie.
Cet hurleur de Doha, qui fait preuve de prudence depuis son signalement par plusieurs parties à la direction de la chaîne qatarie a choisi les réseaux sociaux et certains médias « amis » pour faire dans la diffamation et le mensonge. Une ambivalence que le grand public a rapidement identifiée, tout comme le Paradou AC, comme une énième provocation. « Cela reflète clairement son intention de nuire, en tentant d’induire en erreur l’opinion publique, sinon comment expliquer son propos alors qu’il est censé connaître les règles FIFA, qui engagent aussi la FAF, et dans le cas contraire, ce serait plus grave pour ce journaleux qui avoue donc son ignorance », écrit le club des frères Zetchi dans son communiqué.
Ces deux dirigeants, toujours cloîtrés dans le silence et le travail en guise de seule réponse, ont décidé d’agir, à en croire le communiqué. «La référence de ce commentateur à la traite humaine, qui est un crime, en évoquant ces transferts, constitue une qualification diffamatoire dont il est le seul responsable et il devra, par conséquent, en assumer les conséquences.» Un signal fort qui tend à une double action en justice, ici, en Algérie, mais aussi au Qatar où réside Hafid Derradji, mais aussi les joueurs concernés par les transferts et leurs clubs employeurs. Il s’agit maintenant pour le hurleur de Doha d’apporter la preuve d’une quelconque «traite humaine et esclavagisme sportif» dont les victimes seraient de jeunes footballeurs algériens arrachés à leurs parents et destinés à devenir de futurs internationaux portant la tenue d’El Anabi.
Sans la moindre précaution, Hafid Derradji a fait sienne les affirmations du café du com- merce sans prendre la peine de procéder aux vérifications nécessaires, notamment concernant l’âge des joueurs. Une sortie ratée qui n’a pas manqué de faire réagir le Paradou AC, qui a rappelé, dans un communiqué publié samedi sur sa page officielle (facebook), que « en déclarant [Hafid Derradji, NDLR] dans cette vidéo que ces trois (3) joueurs transférés sont âgés de moins de 18 ans, ce qui est totalement faux, ce prétendu professionnel a proféré un mensonge aussi odieux qu’inacceptable». D’autant que le commentateur vit à Doha. Ce qui nuit naturellement à l’image de la chaîne qatarie.
Cet hurleur de Doha, qui fait preuve de prudence depuis son signalement par plusieurs parties à la direction de la chaîne qatarie a choisi les réseaux sociaux et certains médias « amis » pour faire dans la diffamation et le mensonge. Une ambivalence que le grand public a rapidement identifiée, tout comme le Paradou AC, comme une énième provocation. « Cela reflète clairement son intention de nuire, en tentant d’induire en erreur l’opinion publique, sinon comment expliquer son propos alors qu’il est censé connaître les règles FIFA, qui engagent aussi la FAF, et dans le cas contraire, ce serait plus grave pour ce journaleux qui avoue donc son ignorance », écrit le club des frères Zetchi dans son communiqué.
Ces deux dirigeants, toujours cloîtrés dans le silence et le travail en guise de seule réponse, ont décidé d’agir, à en croire le communiqué. «La référence de ce commentateur à la traite humaine, qui est un crime, en évoquant ces transferts, constitue une qualification diffamatoire dont il est le seul responsable et il devra, par conséquent, en assumer les conséquences.» Un signal fort qui tend à une double action en justice, ici, en Algérie, mais aussi au Qatar où réside Hafid Derradji, mais aussi les joueurs concernés par les transferts et leurs clubs employeurs. Il s’agit maintenant pour le hurleur de Doha d’apporter la preuve d’une quelconque «traite humaine et esclavagisme sportif» dont les victimes seraient de jeunes footballeurs algériens arrachés à leurs parents et destinés à devenir de futurs internationaux portant la tenue d’El Anabi.