Le médecin traitant de Maradona, Alfredo Di Spagna, pourrait être ajouté à la liste des inculpés après que sa défense a répondu aux demandes supplémentaires formulées par les enquêteurs.
Les procureurs en charge de l’affaire ont officiellement notifié le neurochirurgien Leopoldo Luque, la psychiatre Agustina Cosachov, le psychologue Carlos Díaz, le médecin Nancy Forlini et les infirmiers Mariano Perroni, Ricardo Almirón et Dahiana Madrid, qui ont été formellement inculpé de "meurtre".
Le parquet leur accorde un délai de 72 heures pour faire une déposition en rapport avec le nouveau chef d’inculpation.
Pour le ministère public, les prévenus, y compris le médecin traitant, ont failli à leurs devoirs, chacun en ce qui le concerne, et ont augmenté les risques pour la patient, au-delà de la marge autorisée, ce qui a provoqué l'issue fatale qui aurait pu être évitée.
Il affirme que les médecins et les infirmières ont placé l'ancien footballeur "dans une situation de vulnérabilité" et qu'ils l'ont abandonné "à son sort", ce qui a "causé la mort de Diego Armando Maradona, le 25 novembre 2020 à 12h30 à la suite d'une insuffisance respiratoire et d'un arrêt cardiaque".
L’enquête menée depuis plusieurs mois avait conclu que l'équipe médicale de Maradona était "déficiente" et "indifférente" au sort du footballeur. Elle savait que Maradona pouvait mourir et n'a rien fait pour l'empêcher, ont affirmé les enquêteurs.
En raison des nouveaux chefs d’accusation, les inculpés encourent des peines de 8 à 25 ans de prison ferme.
LODJ avec MAP
Les procureurs en charge de l’affaire ont officiellement notifié le neurochirurgien Leopoldo Luque, la psychiatre Agustina Cosachov, le psychologue Carlos Díaz, le médecin Nancy Forlini et les infirmiers Mariano Perroni, Ricardo Almirón et Dahiana Madrid, qui ont été formellement inculpé de "meurtre".
Le parquet leur accorde un délai de 72 heures pour faire une déposition en rapport avec le nouveau chef d’inculpation.
Pour le ministère public, les prévenus, y compris le médecin traitant, ont failli à leurs devoirs, chacun en ce qui le concerne, et ont augmenté les risques pour la patient, au-delà de la marge autorisée, ce qui a provoqué l'issue fatale qui aurait pu être évitée.
Il affirme que les médecins et les infirmières ont placé l'ancien footballeur "dans une situation de vulnérabilité" et qu'ils l'ont abandonné "à son sort", ce qui a "causé la mort de Diego Armando Maradona, le 25 novembre 2020 à 12h30 à la suite d'une insuffisance respiratoire et d'un arrêt cardiaque".
L’enquête menée depuis plusieurs mois avait conclu que l'équipe médicale de Maradona était "déficiente" et "indifférente" au sort du footballeur. Elle savait que Maradona pouvait mourir et n'a rien fait pour l'empêcher, ont affirmé les enquêteurs.
En raison des nouveaux chefs d’accusation, les inculpés encourent des peines de 8 à 25 ans de prison ferme.
LODJ avec MAP