Il a expliqué que ce débat était l’occasion de mettre sur le devant de la scène les vrais problèmes de notre pays : lutte contre le changement climatique, pauvreté, crise sociale, et de sortir des thèmes stériles de M. Zemmour.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a dénoncé le « danger pour la France » que représente Éric Zemmour, notamment pour les droits des femmes. Il a aussi démontré la fausseté des chiffres extravagants du polémiste d’extrême droite sur l’immigration. À l’inverse, Jean-Luc Mélenchon a défendu la « religion républicaine » du peuple français uni autour de sa devise : « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Concernant la sécurité, face à un Éric Zemmour qui ne proposait pas grand chose, Jean-Luc Mélenchon a déployé son programme : dissolution des BAC et des BRAV, arrêt de l’utilisation par la police des flashball et des grenades dans le maintien de l’ordre. Il a défendu une police républicaine, respectueuse des gens, entraînée et disciplinée. Il a également affirmé vouloir casser pour de bon les trafics d’armes, de drogue et d’êtres humains et lutter contre le blanchiment de l’argent sale.
Le débat portait ensuite sur l’indépendance de la France et sa souveraineté. Jean-Luc Mélenchon a défendu la sortie de l’OTAN. Mais il a également parlé du rayonnement de notre pays, évoquant notamment notre territoire maritime (le deuxième du monde) et notre contribution à la recherche spatiale. Il a par ailleurs proposé que la francophonie devienne un espace politique de coopération entre les peuples partageant la langue commune qu’est le français.
Jean-Luc Mélenchon a ensuite développé son programme social : SMIC à 1400 euros nets, retraite à 60 ans pour 40 annuités, blocage de certains prix et notamment de l’énergie (électricité, gaz, essence) et de l’alimentation. Il a expliqué que ces mesures étaient aussi des mesures écologiques puisqu’un meilleur salaire signifie aussi souvent une meilleure consommation alimentaire. Sur tous ces sujets, Éric Zemmour est resté muet.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a aussi défendu son programme en matière écologique. Il a expliqué qu’il voulait mettre en place un protectionnisme écologique pour interdire l’entrée sur notre territoire de produits contenant du glyphosate puisqu’il l’interdirait lui-même en France. Il a aussi dit qu’il fallait sortir du nucléaire et a expliqué comment un plan permettrait de le faire en développant les énergies renouvelables et en créant des dizaines de milliers d’emplois.
Concernant les traités européens, Jean-Luc Mélenchon a pris l’engagement absolu d’appliquer son programme quoi qu’il arrive, expliquant que si des traités européens s’y opposaient, il appliquerait un droit « d’opt-out » sur ces traités, c'est-à-dire de non application. Défendant la souveraineté du peuple dans toutes ses dimensions, il a aussi plaidé de nouveau pour une 6e République, un référendum d’initiative citoyenne et le droit de révoquer les élus.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon a conclu l’émission en rappelant que le défi numéro 1 à relever était de faire face au changement climatique. Il a souligné l’urgence de ce défi en précisant que sans action de notre part, en 2050, plusieurs zones de la France seront sous l’eau et 1 million de personnes inondées chaque année. Pour y faire face, il a proposé d’appliquer la “règle verte”, mesure présente dans son programme qui consiste à ne pas prendre à la nature plus que ce qu’elle ne peut reconstituer. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a aussi appelé, à l’heure du changement climatique, à agir tous ensemble, dans la solidarité et sans discrimination.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a dénoncé le « danger pour la France » que représente Éric Zemmour, notamment pour les droits des femmes. Il a aussi démontré la fausseté des chiffres extravagants du polémiste d’extrême droite sur l’immigration. À l’inverse, Jean-Luc Mélenchon a défendu la « religion républicaine » du peuple français uni autour de sa devise : « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Concernant la sécurité, face à un Éric Zemmour qui ne proposait pas grand chose, Jean-Luc Mélenchon a déployé son programme : dissolution des BAC et des BRAV, arrêt de l’utilisation par la police des flashball et des grenades dans le maintien de l’ordre. Il a défendu une police républicaine, respectueuse des gens, entraînée et disciplinée. Il a également affirmé vouloir casser pour de bon les trafics d’armes, de drogue et d’êtres humains et lutter contre le blanchiment de l’argent sale.
Le débat portait ensuite sur l’indépendance de la France et sa souveraineté. Jean-Luc Mélenchon a défendu la sortie de l’OTAN. Mais il a également parlé du rayonnement de notre pays, évoquant notamment notre territoire maritime (le deuxième du monde) et notre contribution à la recherche spatiale. Il a par ailleurs proposé que la francophonie devienne un espace politique de coopération entre les peuples partageant la langue commune qu’est le français.
Jean-Luc Mélenchon a ensuite développé son programme social : SMIC à 1400 euros nets, retraite à 60 ans pour 40 annuités, blocage de certains prix et notamment de l’énergie (électricité, gaz, essence) et de l’alimentation. Il a expliqué que ces mesures étaient aussi des mesures écologiques puisqu’un meilleur salaire signifie aussi souvent une meilleure consommation alimentaire. Sur tous ces sujets, Éric Zemmour est resté muet.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a aussi défendu son programme en matière écologique. Il a expliqué qu’il voulait mettre en place un protectionnisme écologique pour interdire l’entrée sur notre territoire de produits contenant du glyphosate puisqu’il l’interdirait lui-même en France. Il a aussi dit qu’il fallait sortir du nucléaire et a expliqué comment un plan permettrait de le faire en développant les énergies renouvelables et en créant des dizaines de milliers d’emplois.
Concernant les traités européens, Jean-Luc Mélenchon a pris l’engagement absolu d’appliquer son programme quoi qu’il arrive, expliquant que si des traités européens s’y opposaient, il appliquerait un droit « d’opt-out » sur ces traités, c'est-à-dire de non application. Défendant la souveraineté du peuple dans toutes ses dimensions, il a aussi plaidé de nouveau pour une 6e République, un référendum d’initiative citoyenne et le droit de révoquer les élus.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon a conclu l’émission en rappelant que le défi numéro 1 à relever était de faire face au changement climatique. Il a souligné l’urgence de ce défi en précisant que sans action de notre part, en 2050, plusieurs zones de la France seront sous l’eau et 1 million de personnes inondées chaque année. Pour y faire face, il a proposé d’appliquer la “règle verte”, mesure présente dans son programme qui consiste à ne pas prendre à la nature plus que ce qu’elle ne peut reconstituer. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a aussi appelé, à l’heure du changement climatique, à agir tous ensemble, dans la solidarité et sans discrimination.