Depuis que le robinet du gaz algérien s’écoulant vers l’Espagne à travers le Maroc a été fermé, les caporaux d’Alger attendent impatiemment de voir les Marocains geler de froid et cuisiner leurs repas avec du bois.
Il ne leur est pas venu à l’esprit que les températures hivernales ne sont pas plus basses au Maroc qu’en Algérie. Ni que les files d’attente interminables pour se procurer des bouteilles de gaz butane ne peuvent se produire que dans un pays producteur et exportateur de gaz aussi mal gouverné que le voisin de l’Est.
Le désespoir est source de faux pas, ce que les caporaux d’Alger ont cumulé récemment. Des accusations, les plus farfelues les unes que les autres, sont portées contre le Maroc, à tel point que s’en est devenu un sujet de plaisanterie pour les Algériens.
Les relations diplomatiques ont été rompues avec le royaume, mais l’absence de réaction belliqueuse de ce dernier à plongé les caporaux d’Alger dans une rage folle. Rabat refuse de jouer le jeu pour leur permettre de détourner l’attention de leurs concitoyens de la crise politique et socioéconomique qui étrangle le pays voisin.
Même l’espace aérien algérien a été fermé aux avions marocains, une fermeture conçue comme une sanction économique, sauf que l’impact sur la compagnie aérienne nationale, la RAM, est minime.
Les Marocains sont têtus, ils persistent à développer leurs infrastructures et leur économie. Leurs marchés sont, par ailleurs, correctement approvisionnés. L’image ainsi donnée à leurs voisins de l’Est est de nature à inciter ces derniers à maintenir vivace la menace que fait planer le Hirak sur les têtes des dirigeants algériens.
Les indépendantistes kabyles du ‘MAK’ et les islamistes du ‘Rachad’ se frottent les mains de satisfaction. Même si les autorités marocaines ne leur ont jamais apporté le moindre soutien, ni même traité avec ces organisations, le simple fait que les caporaux d’Alger accolent leurs noms à celui du Maroc leur apporte une visibilité médiatique dont ils ne pouvaient même pas rêver.
Au Sud, les polisariens n’ont apporté aux caporaux d’Alger aucune satisfaction. Des milliards de dollars engloutis dans les sables du désert, pour ne récolter qu’une succession ininterrompue d’échecs.
Pour ne rien arranger, les camps de Tindouf, ou les dirigeants polisariens ont presque perdu toute autorité, sont balayés par une tempête de chaos et d’insécurité, qui les transforment en une tumeur cancéreuse.
Le polisario n’est plus un atout dans les manigances anti-marocaines des caporaux d’Alger, c’est devenu un boulet géopolitique. Il fait, désormais, figure d’eau dans le gaz algérien.
Il ne leur est pas venu à l’esprit que les températures hivernales ne sont pas plus basses au Maroc qu’en Algérie. Ni que les files d’attente interminables pour se procurer des bouteilles de gaz butane ne peuvent se produire que dans un pays producteur et exportateur de gaz aussi mal gouverné que le voisin de l’Est.
Le désespoir est source de faux pas, ce que les caporaux d’Alger ont cumulé récemment. Des accusations, les plus farfelues les unes que les autres, sont portées contre le Maroc, à tel point que s’en est devenu un sujet de plaisanterie pour les Algériens.
Les relations diplomatiques ont été rompues avec le royaume, mais l’absence de réaction belliqueuse de ce dernier à plongé les caporaux d’Alger dans une rage folle. Rabat refuse de jouer le jeu pour leur permettre de détourner l’attention de leurs concitoyens de la crise politique et socioéconomique qui étrangle le pays voisin.
Même l’espace aérien algérien a été fermé aux avions marocains, une fermeture conçue comme une sanction économique, sauf que l’impact sur la compagnie aérienne nationale, la RAM, est minime.
Les Marocains sont têtus, ils persistent à développer leurs infrastructures et leur économie. Leurs marchés sont, par ailleurs, correctement approvisionnés. L’image ainsi donnée à leurs voisins de l’Est est de nature à inciter ces derniers à maintenir vivace la menace que fait planer le Hirak sur les têtes des dirigeants algériens.
Les indépendantistes kabyles du ‘MAK’ et les islamistes du ‘Rachad’ se frottent les mains de satisfaction. Même si les autorités marocaines ne leur ont jamais apporté le moindre soutien, ni même traité avec ces organisations, le simple fait que les caporaux d’Alger accolent leurs noms à celui du Maroc leur apporte une visibilité médiatique dont ils ne pouvaient même pas rêver.
Au Sud, les polisariens n’ont apporté aux caporaux d’Alger aucune satisfaction. Des milliards de dollars engloutis dans les sables du désert, pour ne récolter qu’une succession ininterrompue d’échecs.
Pour ne rien arranger, les camps de Tindouf, ou les dirigeants polisariens ont presque perdu toute autorité, sont balayés par une tempête de chaos et d’insécurité, qui les transforment en une tumeur cancéreuse.
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