La DGI intensifie ses efforts pour lutter contre des milliers d'entreprises soupçonnées de fraude fiscale au Maroc. Souvent appelées « entreprises dormantes », ces entités dissimulent leur inactivité réelle tout en manipulant des transactions fictives pour contourner les obligations fiscales. Plus de 225 000 entreprises figurent sur la liste noire de la DGI, un chiffre alarmant qui témoigne de l'ampleur du problème.
Le ministère des Finances a récemment révélé que ces entreprises sont principalement impliquées dans la vente et l'achat de factures fictives, une pratique qui cause une perte importante pour les recettes fiscales. En réponse, la DGI a élaboré une stratégie offensive pour éradiquer ses pratiques frauduleuses.
Cette lutte contre la fraude fiscale est devenue une priorité pour le gouvernement, qui voit dans ces pratiques illégales une menace pour l’équilibre financier national.
Cette démarche s'inscrit dans une stratégie à long terme visant à instaurer plus de transparence et d’équité fiscale au Maroc, tout en assurant un environnement des affaires plus sain et responsable.
Le ministère des Finances a récemment révélé que ces entreprises sont principalement impliquées dans la vente et l'achat de factures fictives, une pratique qui cause une perte importante pour les recettes fiscales. En réponse, la DGI a élaboré une stratégie offensive pour éradiquer ses pratiques frauduleuses.
Cette lutte contre la fraude fiscale est devenue une priorité pour le gouvernement, qui voit dans ces pratiques illégales une menace pour l’équilibre financier national.
Cette démarche s'inscrit dans une stratégie à long terme visant à instaurer plus de transparence et d’équité fiscale au Maroc, tout en assurant un environnement des affaires plus sain et responsable.