Tesla accusée de plagiat :
Cette situation souligne les tensions croissantes entre l'innovation technologique et le respect des droits d'auteur dans l'industrie cinématographique.
La polémique ne s'arrête pas là. Alex Proyas, le réalisateur de I, Robot, avait déjà accusé Tesla d'avoir plagié ses designs, mettant en lumière les similitudes entre le robot Optimus, le Cybercab et la navette Robovan. Mais la plainte d'Alcon va bien au-delà des simples accusations de plagiat. Les producteurs craignent que leur œuvre soit associée à la "vision politique et sociale extrême" d'Elon Musk, ce qui pourrait ternir l'image de Blade Runner 2049.
En effet, la vidéo promotionnelle du Cybercab, diffusée lors de l'événement où Musk a fait une apparition, évoque fortement l'esthétique de Blade Runner 2049. Un homme habillé comme le personnage principal, joué par Ryan Gosling, évolue dans une ambiance brumeuse, renforçant cette association. Alcon accuse également Warner Bros d'avoir collaboré avec Tesla pour créer ce clip, utilisant des éléments du film sans permission.
Les implications de cette affaire vont au-delà des droits d'auteur. Alcon met en garde que toute entreprise envisageant un partenariat avec Tesla doit considérer la réputation controversée de Musk, qui est souvent perçue comme capricieuse et politisée. En somme, cette plainte soulève des questions cruciales sur l'éthique des collaborations entre le monde du cinéma et celui de la technologie, tout en illustrant les défis auxquels Tesla est confrontée dans sa quête d'innovation.
La polémique ne s'arrête pas là. Alex Proyas, le réalisateur de I, Robot, avait déjà accusé Tesla d'avoir plagié ses designs, mettant en lumière les similitudes entre le robot Optimus, le Cybercab et la navette Robovan. Mais la plainte d'Alcon va bien au-delà des simples accusations de plagiat. Les producteurs craignent que leur œuvre soit associée à la "vision politique et sociale extrême" d'Elon Musk, ce qui pourrait ternir l'image de Blade Runner 2049.
En effet, la vidéo promotionnelle du Cybercab, diffusée lors de l'événement où Musk a fait une apparition, évoque fortement l'esthétique de Blade Runner 2049. Un homme habillé comme le personnage principal, joué par Ryan Gosling, évolue dans une ambiance brumeuse, renforçant cette association. Alcon accuse également Warner Bros d'avoir collaboré avec Tesla pour créer ce clip, utilisant des éléments du film sans permission.
Les implications de cette affaire vont au-delà des droits d'auteur. Alcon met en garde que toute entreprise envisageant un partenariat avec Tesla doit considérer la réputation controversée de Musk, qui est souvent perçue comme capricieuse et politisée. En somme, cette plainte soulève des questions cruciales sur l'éthique des collaborations entre le monde du cinéma et celui de la technologie, tout en illustrant les défis auxquels Tesla est confrontée dans sa quête d'innovation.