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Sanofi va produire en France le vaccin contre la Covid-19 de son concurrent américain Johnson & Johnson, comme il s'apprête aussi à le faire pour Pfizer-BioNTech, faute de pouvoir proposer son propre vaccin pour lequel il a lancé un nouvel essai clinique.
Sanofi sera chargé de la formulation et du remplissage des flacons sur son site de Marcy-l'Etoile, près de Lyon, "à partir du troisième trimestre", "à un rythme d'environ 12 millions de doses par mois", selon un communiqué du laboratoire, qui a tenu à préciser qu’il continue à prioriser la mise au point de ses deux candidats-vaccins.
C'est la deuxième fois que Sanofi met au service de ses concurrents ses outils de production: il va fabriquer à partir de l'été dans son usine de Francfort en Allemagne plus de 125 millions de doses du vaccin de Pfizer-BioNTech.
Il a également annoncé qu'il débutait une nouvelle étude de phase 2 de son principal candidat-vaccin développé avec le britannique GSK et utilisant la technologie de la protéine recombinante. Sanofi espère le mettre à disposition au quatrième trimestre.
Le laboratoire développe également un deuxime candidat-vaccin avec la société américaine Translate Bio, qui repose sur la technologie plus récente de l'ARN messager.
Avec AFP
Sanofi sera chargé de la formulation et du remplissage des flacons sur son site de Marcy-l'Etoile, près de Lyon, "à partir du troisième trimestre", "à un rythme d'environ 12 millions de doses par mois", selon un communiqué du laboratoire, qui a tenu à préciser qu’il continue à prioriser la mise au point de ses deux candidats-vaccins.
C'est la deuxième fois que Sanofi met au service de ses concurrents ses outils de production: il va fabriquer à partir de l'été dans son usine de Francfort en Allemagne plus de 125 millions de doses du vaccin de Pfizer-BioNTech.
Il a également annoncé qu'il débutait une nouvelle étude de phase 2 de son principal candidat-vaccin développé avec le britannique GSK et utilisant la technologie de la protéine recombinante. Sanofi espère le mettre à disposition au quatrième trimestre.
Le laboratoire développe également un deuxime candidat-vaccin avec la société américaine Translate Bio, qui repose sur la technologie plus récente de l'ARN messager.
Avec AFP