Le nouveau variant Eris est-il dangereux ?
Ce sous-variant de la famille Omicron, membre du lignage XBB, semble plus transmissible que d'autres en circulation - probablement sous l'effet de nouvelles mutations génétiques - et peut-être plus capable d'échapper aux défenses immunitaires.
"On l'a identifié en Inde, mais aussi dans d'autres pays d'Asie, en Amérique du Nord, en Europe, où il tend à supplanter les précédentes souches dominantes. Ce variant n'est pas rapporté, là où il est passé, provoquer de symptômes spécifiques, ni de virulence particulière", a exposé à l'AFP Antoine Flahault, directeur de l'Institut de santé globale de l'université de Genève.
À ce stade, "les preuves disponibles ne suggèrent pas que l'EG.5 présente des risques supplémentaires pour la santé publique par rapport aux autres lignées descendantes d'Omicron en circulation", selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Mais "le risque demeure qu'un variant plus dangereux émerge et provoque une hausse soudaine des cas et des décès", a rappelé le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, lors d'une conférence de presse.
"On l'a identifié en Inde, mais aussi dans d'autres pays d'Asie, en Amérique du Nord, en Europe, où il tend à supplanter les précédentes souches dominantes. Ce variant n'est pas rapporté, là où il est passé, provoquer de symptômes spécifiques, ni de virulence particulière", a exposé à l'AFP Antoine Flahault, directeur de l'Institut de santé globale de l'université de Genève.
À ce stade, "les preuves disponibles ne suggèrent pas que l'EG.5 présente des risques supplémentaires pour la santé publique par rapport aux autres lignées descendantes d'Omicron en circulation", selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Mais "le risque demeure qu'un variant plus dangereux émerge et provoque une hausse soudaine des cas et des décès", a rappelé le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, lors d'une conférence de presse.