Obligée de l’emporter pour coiffer au poteau son adversaire du jour et rallier le prochain tour, l’Indonésie prenait l’initiative en premier, en tirant le premier corner de la partie, après une minute de jeu (2e). Le Maroc répondait par Anas Alaoui, d’une frappe en pivot au premier poteau, suite à un centre en retrait de Mohamed Hamony depuis la gauche (3e). Les Asiatiques surenchérissaient avec Arkhan Kaka, qui butait sur la jambe tendue de Taha Benrhozil près de la ligne de sortie de but (6e).
Le mano a mano se poursuivait à travers une action marocaine sauvée sur la ligne par la défense indonésienne (12e). Mais, pas pour longtemps. Car passé le quart d’heure de jeu, les vice-champions d’Afrique prenaient le dessus sur leurs adversaires. Déjà, Abdelhamid Maali poussait le gardien à se détendre de tout son corps pour repousser une frappe enroulée de l’extérieur de la surface (16e). Puis Hamony provoquait un penalty que se faisait le plaisir de transformer Alaoui (1-0, 29e). Une dizaine de minutes plus tard, Abdelhamid Ait Boudlal reprenait efficacement un corner botté du coin gauche par Ayoub Chaikhoun et faisait le break (2-0, 38e).
Limité collectivement, l’Indonésie s’en remettait à un exploit individuel de Nabil Asyura pour réduire la marge. L’attaquant de l’équipe de jeunes de Persija Jakarta frappait en effet un magnifique coup franc des 30 mètres qui se logeait dans le petit filet gauche de Benrhozil (2-1, 42e).
Seulement le jeune avant-centre ne faisait pas le printemps à lui tout seul. Les Lionceaux reprenaient ainsi leur marche en avant dès l’entame de la seconde période. Dans ce sens, Maali voyait son coup franc des 30 mètres fuir le cadre de près (48e). Le Maroc pouvait en plus compter sur sa bonne étoile, puisque sept minutes plus tard, l’ailier était tout heureux de voir l’arbitre refuser un penalty aux Indonésiens après visionnage de la VAR, suite à une main jugée involontaire dans la surface (58e). Ce même Maali permettait aux Lionceaux de se mettre définitivement à l’abri peu après l’heure de jeu, en délivrant une passe décisive pour Hamony au bout d’une contre-attaque supersonique : le Havrais plaçait le cuir entre les jambes d’Al Giffari et scellait le score à 3-1 (64e). En fin de match, le Parisien Naoufel El Hannach, entré en jeu 12 minutes plus tôt, butait sur le portier du Semen Padang pour l’anecdote.
MKavec Afrikfoot
Le mano a mano se poursuivait à travers une action marocaine sauvée sur la ligne par la défense indonésienne (12e). Mais, pas pour longtemps. Car passé le quart d’heure de jeu, les vice-champions d’Afrique prenaient le dessus sur leurs adversaires. Déjà, Abdelhamid Maali poussait le gardien à se détendre de tout son corps pour repousser une frappe enroulée de l’extérieur de la surface (16e). Puis Hamony provoquait un penalty que se faisait le plaisir de transformer Alaoui (1-0, 29e). Une dizaine de minutes plus tard, Abdelhamid Ait Boudlal reprenait efficacement un corner botté du coin gauche par Ayoub Chaikhoun et faisait le break (2-0, 38e).
Limité collectivement, l’Indonésie s’en remettait à un exploit individuel de Nabil Asyura pour réduire la marge. L’attaquant de l’équipe de jeunes de Persija Jakarta frappait en effet un magnifique coup franc des 30 mètres qui se logeait dans le petit filet gauche de Benrhozil (2-1, 42e).
Seulement le jeune avant-centre ne faisait pas le printemps à lui tout seul. Les Lionceaux reprenaient ainsi leur marche en avant dès l’entame de la seconde période. Dans ce sens, Maali voyait son coup franc des 30 mètres fuir le cadre de près (48e). Le Maroc pouvait en plus compter sur sa bonne étoile, puisque sept minutes plus tard, l’ailier était tout heureux de voir l’arbitre refuser un penalty aux Indonésiens après visionnage de la VAR, suite à une main jugée involontaire dans la surface (58e). Ce même Maali permettait aux Lionceaux de se mettre définitivement à l’abri peu après l’heure de jeu, en délivrant une passe décisive pour Hamony au bout d’une contre-attaque supersonique : le Havrais plaçait le cuir entre les jambes d’Al Giffari et scellait le score à 3-1 (64e). En fin de match, le Parisien Naoufel El Hannach, entré en jeu 12 minutes plus tôt, butait sur le portier du Semen Padang pour l’anecdote.
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