Le triathlon est la première discipline olympique à se dérouler dans la Seine, avant la natation en eau libre prévue la deuxième semaine des JO de Paris. Les organisateurs avaient exprimé leur confiance malgré le report de deux séances d'entraînement.
Cependant, les fortes pluies de vendredi et samedi ont détérioré la qualité de l'eau, avec des analyses récentes montrant des niveaux de pollution encore au-dessus des normes acceptables, selon un communiqué conjoint de World Triathlon et du comité d'organisation.
Benjamin Maze, directeur technique national de la fédération de triathlon, a exprimé une certaine colère et déception, mais reste optimiste quant à la possibilité de nager mercredi. L’épreuve masculine est désormais reprogrammée pour mercredi à 10h45 (8h45 GMT), après l’épreuve féminine à 8h00 (6h00 GMT), sous réserve que les prochains tests confirment que l'eau respecte les normes de baignabilité.
Si la qualité de l'eau ne s'améliore pas, un nouveau report pourrait être envisagé vendredi. Les organisateurs, dont la priorité est la santé des athlètes, envisagent même le duathlon comme ultime recours, bien que cela représenterait un échec pour les organisateurs et les autorités locales, notamment la mairie de Paris et la préfecture de région, qui travaillent depuis des années sur la dépollution de la Seine.
Météo France prévoit des orages en soirée, susceptibles de détériorer à nouveau la qualité de l'eau. Pierre Rabadan, adjoint de la maire Anne Hidalgo chargé des JO et de la Seine, reste toutefois confiant et souligne une amélioration récente de la qualité de l'eau.
Les organisateurs n'ont pas précisé les niveaux de bactéries E.Coli et entérocoques, mais Pierre Rabadan estime que la tendance est plutôt favorable pour le maintien des épreuves mercredi.
Ce n'est pas le premier report en raison des conditions météorologiques. Les épreuves de skateboard street hommes, initialement prévues samedi, ont été décalées à lundi, et la compétition féminine de surf a été suspendue à Tahiti lundi en raison de la météo changeante.
Les épreuves en Seine ont suscité des inquiétudes depuis des mois, avec des répétitions annulées en août 2023 en raison de la qualité de l’eau. L'État et les collectivités franciliennes ont investi 1,4 milliard d'euros pour rendre la Seine et son affluent, la Marne, baignables pour les JO et le grand public.
La mairie de Paris a notamment construit un bassin de rétention de 100 millions d'euros, capable de contenir jusqu'à 50 000 m³ d'eaux usées et pluviales en cas de fortes pluies. Bien que la qualité de l'eau ait été déficiente en juin, les analyses étaient conformes aux normes sanitaires six jours sur sept du 17 au 23 juillet. Le 17 juillet, après un report en partie dû à la météo, Anne Hidalgo et Tony Estanguet s’étaient baignés dans la Seine pour illustrer l’amélioration de la qualité de l’eau.
Cependant, les fortes pluies de vendredi et samedi ont détérioré la qualité de l'eau, avec des analyses récentes montrant des niveaux de pollution encore au-dessus des normes acceptables, selon un communiqué conjoint de World Triathlon et du comité d'organisation.
Benjamin Maze, directeur technique national de la fédération de triathlon, a exprimé une certaine colère et déception, mais reste optimiste quant à la possibilité de nager mercredi. L’épreuve masculine est désormais reprogrammée pour mercredi à 10h45 (8h45 GMT), après l’épreuve féminine à 8h00 (6h00 GMT), sous réserve que les prochains tests confirment que l'eau respecte les normes de baignabilité.
Si la qualité de l'eau ne s'améliore pas, un nouveau report pourrait être envisagé vendredi. Les organisateurs, dont la priorité est la santé des athlètes, envisagent même le duathlon comme ultime recours, bien que cela représenterait un échec pour les organisateurs et les autorités locales, notamment la mairie de Paris et la préfecture de région, qui travaillent depuis des années sur la dépollution de la Seine.
Météo France prévoit des orages en soirée, susceptibles de détériorer à nouveau la qualité de l'eau. Pierre Rabadan, adjoint de la maire Anne Hidalgo chargé des JO et de la Seine, reste toutefois confiant et souligne une amélioration récente de la qualité de l'eau.
Les organisateurs n'ont pas précisé les niveaux de bactéries E.Coli et entérocoques, mais Pierre Rabadan estime que la tendance est plutôt favorable pour le maintien des épreuves mercredi.
Ce n'est pas le premier report en raison des conditions météorologiques. Les épreuves de skateboard street hommes, initialement prévues samedi, ont été décalées à lundi, et la compétition féminine de surf a été suspendue à Tahiti lundi en raison de la météo changeante.
Les épreuves en Seine ont suscité des inquiétudes depuis des mois, avec des répétitions annulées en août 2023 en raison de la qualité de l’eau. L'État et les collectivités franciliennes ont investi 1,4 milliard d'euros pour rendre la Seine et son affluent, la Marne, baignables pour les JO et le grand public.
La mairie de Paris a notamment construit un bassin de rétention de 100 millions d'euros, capable de contenir jusqu'à 50 000 m³ d'eaux usées et pluviales en cas de fortes pluies. Bien que la qualité de l'eau ait été déficiente en juin, les analyses étaient conformes aux normes sanitaires six jours sur sept du 17 au 23 juillet. Le 17 juillet, après un report en partie dû à la météo, Anne Hidalgo et Tony Estanguet s’étaient baignés dans la Seine pour illustrer l’amélioration de la qualité de l’eau.