La police de Casablanca a démantelé un réseau de trafic d’inscriptions dans le cycle du master de la faculté de droit de Hassan II. Trois individus, dont un fonctionnaire, ont été arrêtés pour avoir facilité l’accès à ce programme contre de l’argent.
Ce scandale révèle des failles importantes dans le système éducatif marocain, où la corruption menace l’égalité des chances. Si ce réseau n’est pas un cas isolé, il soulève des questions sur la transparence et la surveillance dans les établissements publics.
Ce type de scandale n’est pas propre au Maroc. Dans d’autres pays, des affaires similaires ont éclaté, souvent suivies de réformes pour restaurer la confiance dans le système éducatif.
Cette affaire pourrait encourager une refonte des procédures d’inscription et des contrôles plus stricts dans les universités marocaines. Cependant, le chemin vers une réforme complète est semé d’embûches, et des efforts continus seront nécessaires pour enrayer ces pratiques.
Ce scandale révèle des failles importantes dans le système éducatif marocain, où la corruption menace l’égalité des chances. Si ce réseau n’est pas un cas isolé, il soulève des questions sur la transparence et la surveillance dans les établissements publics.
Ce type de scandale n’est pas propre au Maroc. Dans d’autres pays, des affaires similaires ont éclaté, souvent suivies de réformes pour restaurer la confiance dans le système éducatif.
Cette affaire pourrait encourager une refonte des procédures d’inscription et des contrôles plus stricts dans les universités marocaines. Cependant, le chemin vers une réforme complète est semé d’embûches, et des efforts continus seront nécessaires pour enrayer ces pratiques.