Cependant, cette mesure ne réjouit pas tous les acteurs du secteur automobile européen. Les grandes marques, telles que BMW et Mercedes, expriment leur préoccupation, craignant que ces taxes ne déclenchent une réaction en chaîne de mesures protectionnistes nuisibles à long terme. Oliver Zipse, PDG de BMW, a souligné le risque d'isolement plutôt que de coopération due aux taxes réciproques. Ola Källenius de Mercedes appelle plutôt à une réduction des barrières commerciales, en accord avec les principes de l'Organisation mondiale du commerce.
Volkswagen a également exprimé ses réserves, notant que la décision de la Commission européenne pourrait être nuisible dans un contexte de demande déjà faible pour les véhicules électriques en Europe. La firme allemande prévient que les effets négatifs pourraient l'emporter sur les avantages escomptés.
Hildegard Müller, présidente de l'union allemande de l'industrie automobile, VDA, renforce cette position en mettant en garde contre les conséquences potentiellement dommageables pour l'industrie, surtout allemande.
Volkswagen a également exprimé ses réserves, notant que la décision de la Commission européenne pourrait être nuisible dans un contexte de demande déjà faible pour les véhicules électriques en Europe. La firme allemande prévient que les effets négatifs pourraient l'emporter sur les avantages escomptés.
Hildegard Müller, présidente de l'union allemande de l'industrie automobile, VDA, renforce cette position en mettant en garde contre les conséquences potentiellement dommageables pour l'industrie, surtout allemande.