Au moins 750 associations, soutenues par des groupes territoriaux ou des institutions publiques, sont concernées par ces contrôles. Selon des sources, les juges examinent les documents justifiant l’utilisation de quelque 120 millions de dirhams alloués à ces associations sur une période de quatre ans.
Ce contrôle de la Cour des comptes est un signal fort envoyé aux organisations de la société civile et aux institutions publiques, dans un contexte où la transparence et la bonne gouvernance sont devenues des enjeux centraux au Maroc. Des scandales de mauvaise gestion des fonds publics ont déjà éclaté par le passé, et ces nouveaux audits pourraient potentiellement révéler des irrégularités similaires.
Ce contrôle de la Cour des comptes est un signal fort envoyé aux organisations de la société civile et aux institutions publiques, dans un contexte où la transparence et la bonne gouvernance sont devenues des enjeux centraux au Maroc. Des scandales de mauvaise gestion des fonds publics ont déjà éclaté par le passé, et ces nouveaux audits pourraient potentiellement révéler des irrégularités similaires.