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Une majorité de députés du parlement européen, sis à Strasbourg, ont estimé qu’actuellement, le principal souci de leurs électeurs est le déni de souveraineté du système judiciaire marocain.
La grande surprise des Marocains a vite laissé place à leur profonde indignation, suite à la résolution sur la « situation des journalistes au Maroc », appelant à la « libération immédiate » de journalistes condamnés pour des faits de droit commun.
Il aurait été possible de s’imaginer que le parlement européen, à la crédibilité pourtant amoindrie par des scandales de corruption, a vraiment à cœur le sort des journalistes marocains, si ce n’était l’attaque directe contre l’appareil judiciaire du royaume.
Sachant que l’un des journalistes condamnés, Omar Radi, a été poursuivi, en autres chefs d’accusations, pour « espionnage », l’appel du parlement européen à sa « libération immédiate », plutôt qu’une requête pour la révision de son procès, ne plaide pas du tout en sa faveur.
Si les députés européens voulaient enfoncer encore plus ledit journaliste et, par extension, ses autres confrères emprisonnés, ils n’auraient pas pu faire pis.
La démarche du parlement européen étant, de toute évidence, absurde, plus on s’en approche pour l’examiner de plus près, plus en exhale une forte odeur de cuisine française putréfiée.
De fil en aiguille, on se retrouve, dans cette affaire, face à un jeu de poupées russes, avec, en dernier, un général algérien portant fièrement le casque d’un garde républicain français.
En remontant la piste de la confrontation géopolitique au Maghreb, on tombe sur une France, en chute libre d’influence en Afrique, qui tente désespérément de s’accrocher à son ex-département algérien, fournisseur de gaz naturel.
Un Maroc qui traite d’égal à égal ne fait que ramener la France à ses justes proportions.
Et c’est, exactement, cette question de poids politique et économique sur la scène internationale qui pose de plus en plus problème non seulement à la France, mais à toute l’Union européenne.
Le trou noir crée en Ukraine pour affaiblir la Russie est en train d’absorber l’Ue.
Le monde entier assiste, en effet, au spectacle d’une Europe, en cours d’appauvrissement et de perte de compétitivité, se débattre pour essayer de garder la tête hors de l’eau.
Les peuples d’Europe, longtemps léthargiques, manifestent de plus en plus bruyamment contre l’incompétence de leurs dirigeants politiques, qui les précipitent dans le gouffre.
En réponse, la répression ! Lors d’une manifestation contre la réforme des retraites en France, le 19 janvier, un journaliste a été émasculé.
Par solidarité envers les confrères outre Méditerranée, le parlement marocain est prié d’adopter une résolution sur « la situation des journalistes en France ».
Le parlement panafricain pourra même s’y associer. Les peuples africains vont certainement l’applaudir.
La grande surprise des Marocains a vite laissé place à leur profonde indignation, suite à la résolution sur la « situation des journalistes au Maroc », appelant à la « libération immédiate » de journalistes condamnés pour des faits de droit commun.
Il aurait été possible de s’imaginer que le parlement européen, à la crédibilité pourtant amoindrie par des scandales de corruption, a vraiment à cœur le sort des journalistes marocains, si ce n’était l’attaque directe contre l’appareil judiciaire du royaume.
Sachant que l’un des journalistes condamnés, Omar Radi, a été poursuivi, en autres chefs d’accusations, pour « espionnage », l’appel du parlement européen à sa « libération immédiate », plutôt qu’une requête pour la révision de son procès, ne plaide pas du tout en sa faveur.
Si les députés européens voulaient enfoncer encore plus ledit journaliste et, par extension, ses autres confrères emprisonnés, ils n’auraient pas pu faire pis.
La démarche du parlement européen étant, de toute évidence, absurde, plus on s’en approche pour l’examiner de plus près, plus en exhale une forte odeur de cuisine française putréfiée.
De fil en aiguille, on se retrouve, dans cette affaire, face à un jeu de poupées russes, avec, en dernier, un général algérien portant fièrement le casque d’un garde républicain français.
En remontant la piste de la confrontation géopolitique au Maghreb, on tombe sur une France, en chute libre d’influence en Afrique, qui tente désespérément de s’accrocher à son ex-département algérien, fournisseur de gaz naturel.
Un Maroc qui traite d’égal à égal ne fait que ramener la France à ses justes proportions.
Et c’est, exactement, cette question de poids politique et économique sur la scène internationale qui pose de plus en plus problème non seulement à la France, mais à toute l’Union européenne.
Le trou noir crée en Ukraine pour affaiblir la Russie est en train d’absorber l’Ue.
Le monde entier assiste, en effet, au spectacle d’une Europe, en cours d’appauvrissement et de perte de compétitivité, se débattre pour essayer de garder la tête hors de l’eau.
Les peuples d’Europe, longtemps léthargiques, manifestent de plus en plus bruyamment contre l’incompétence de leurs dirigeants politiques, qui les précipitent dans le gouffre.
En réponse, la répression ! Lors d’une manifestation contre la réforme des retraites en France, le 19 janvier, un journaliste a été émasculé.
Par solidarité envers les confrères outre Méditerranée, le parlement marocain est prié d’adopter une résolution sur « la situation des journalistes en France ».
Le parlement panafricain pourra même s’y associer. Les peuples africains vont certainement l’applaudir.