Chaque femme est différente de l'autre, donc, elle vit différemment cette période particulière des menstruations. Certaines vont avoir des règles abondantes et doueureuses, et d'autres de tout petits saignements. Le tout s'agit de s'écouter, d'écouter son corps et de ne pas hésiter à consulter un médecin ou un gynécologue si nécessaire.
Est-ce qu'on a ses règles on est moins performante ?
C'est FAUX ! Plusieurs études ont été réalisées afin de savoir si la performance est influencée au cours dy cycle féminin. A part les cas spécifiques de règles abondantes et douleureuses, les menstruations n'ont pas d'effet sur les performances. Ces études confirment que ce qui dérange c'est la semaine qui précède les règles, celle du syndrome prémenstruel qui est un ensemble de symptômes physiques et émotionnels qui surviennent habituellement 2 à 7 jours avant les règles et qui prennent fin avec l'arrivée de celles-ci ou dans les jours qui suivent.
Les symptômes les plus courants sont la fatiges, les seins tendus et gonflés, la rétention d'eau, les jambes lourdes, le gonflement du bras ventre, les maux de tête et de l'irritabilité.
Comment adapter une pratique sportive à son cycle menstruel ?
Pour les sportives de haut niveau, il est très important d'effectuer un suivi iprécis de leur cycle pour adapter leur entrainement et leur alimentation à ces quatre phases : du premier au dernier jour des règles (phase 1), la fin des règles à l'ovulation (phase 2), pendant l'ovulation jusqu'à la baisse de taux d'hormones (phase 3), et les quelques jours précédant les règles (phase 4).
Chaque phase a son lot de symptômes et de conséquences dur le corps. Le risque de blessure, comme une rupture de ligament croisé, est plus élevé durant l'ovulation à cause du pic d'oeustrogènes, chose qui fait diminuer la production de collagène, ces protéines qui agissent comme une armure sur les muscles.
Sans oublier l'alimentation qui est affectée par les hormones : les études montrent que pendant la première moitié du cycle menstruel, le corps utilise de glucides, alors que dans la deuxième moitié, il préfère les lipides.
LODJ avec invivomagazine
Est-ce qu'on a ses règles on est moins performante ?
C'est FAUX ! Plusieurs études ont été réalisées afin de savoir si la performance est influencée au cours dy cycle féminin. A part les cas spécifiques de règles abondantes et douleureuses, les menstruations n'ont pas d'effet sur les performances. Ces études confirment que ce qui dérange c'est la semaine qui précède les règles, celle du syndrome prémenstruel qui est un ensemble de symptômes physiques et émotionnels qui surviennent habituellement 2 à 7 jours avant les règles et qui prennent fin avec l'arrivée de celles-ci ou dans les jours qui suivent.
Les symptômes les plus courants sont la fatiges, les seins tendus et gonflés, la rétention d'eau, les jambes lourdes, le gonflement du bras ventre, les maux de tête et de l'irritabilité.
Comment adapter une pratique sportive à son cycle menstruel ?
Pour les sportives de haut niveau, il est très important d'effectuer un suivi iprécis de leur cycle pour adapter leur entrainement et leur alimentation à ces quatre phases : du premier au dernier jour des règles (phase 1), la fin des règles à l'ovulation (phase 2), pendant l'ovulation jusqu'à la baisse de taux d'hormones (phase 3), et les quelques jours précédant les règles (phase 4).
Chaque phase a son lot de symptômes et de conséquences dur le corps. Le risque de blessure, comme une rupture de ligament croisé, est plus élevé durant l'ovulation à cause du pic d'oeustrogènes, chose qui fait diminuer la production de collagène, ces protéines qui agissent comme une armure sur les muscles.
Sans oublier l'alimentation qui est affectée par les hormones : les études montrent que pendant la première moitié du cycle menstruel, le corps utilise de glucides, alors que dans la deuxième moitié, il préfère les lipides.
LODJ avec invivomagazine