L'indication d'une préoccupation continue en faveur de la promotion des droits de la femme et de la famille, mentionnée dans la correspondance du Souverain au chef du gouvernement, met en lumière l'importance de cette réforme pour le progrès sociétal du Royaume.
L'ampleur collective de cette réforme, résultant de la volonté royale, témoigne de la détermination à ne pas se limiter à des modifications superficielles, mais plutôt à aborder de manière exhaustive les aspects juridiques et judiciaires.
Les consultations, qui accueillent les opinions de toutes les couches de la société, incarnent une approche participative novatrice et reflètent de manière éloquente les aspirations et les préoccupations de notre nation.
Il ne s'agit pas simplement d'une réforme juridique, mais plutôt d'une transformation sociale. Cette réforme revêt une importance particulière pour les femmes marocaines.
Les séances d'audition, qui démontrent déjà un engagement déterminé en faveur de la préservation de la stabilité familiale, soulignent l'importance accordée au respect de la dignité de la femme et à l'intérêt suprême des enfants.
Octroyer plus de droits aux femmes s'impose comme une nécessité pressante, constituant la clé pour libérer pleinement leur potentiel au service du développement économique et social du pays. Investir dans le potentiel féminin n'est pas seulement une obligation morale, mais aussi une stratégie économique judicieuse visant à créer des sociétés plus équitables, équilibrées et prospères.
Quasiment une centaine de sessions d'audition ont déjà été organisées, rassemblant plus de 1 500 associations, partis politiques, institutions officielles et acteurs de la société civile. La variété des points de vue exprimés témoigne d'une profonde réflexion et d'une prise de conscience collective quant à l'importance cruciale de ce processus de réforme.
Les participants, tous unis dans leur appui à l'approche participative entamée, louent également la pertinence du moment choisi par le Souverain pour initier ce processus majeur.
La révision du Code de la famille ne se limite pas à une simple actualisation législative ; elle s'inscrit dans une perspective de transformation positive. Cela explique la diversité des opinions recueillies et la richesse des idées énoncées.
L'objectif est de répondre aux attentes du Souverain, tout en satisfaisant les aspirations légitimes d'une société marocaine plutôt complexe. Cette réforme ne se contente pas de réagir aux demandes sociétales actuelles, mais constitue également une opportunité historique pour le Maroc de renforcer son engagement envers l'égalité et le progrès.
À la suite des auditions et des propositions recueillies, le traitement de ces dernières devrait suivre une approche scientifique intégrant les éléments culturels.
La nouvelle version du Code de la famille doit être en adéquation avec le développement de la société marocaine, en incarnant les principes de démocratie, de justice et de respect des droits fondamentaux.
Dans le dessein de renforcer les aspirations du Maroc, guidé par la direction éclairée de son Souverain, qui façonne une trajectoire résolument progressiste vers un avenir d'égalité et de prospérité. Cela vise à rompre les chaînes de l'inégalité sociale pour édifier une société dynamique, portée par la vigueur et la diversité de toutes ses composantes. C'est également dans l'objectif de faire de cette nouvelle version de la Moudawana un catalyseur de développement.
Admettons-le, la mission attribuée à l'instance chargée de la révision du Code de la famille est particulièrement complexe. Cependant, jusqu'à présent, ses membres ont témoigné d'un engagement inébranlable envers la démocratie participative, faisant de chaque séance un forum où les opinions, même les plus divergentes, peuvent être exprimées librement.
Le processus d'audition, toujours en cours, ne se résume pas à une simple formalité, mais plutôt à une célébration de la diversité des idées et des perspectives.
Cette approche inclusive contribuera à abolir les divisions, créant ainsi une vision commune qui reflète les aspirations de notre société en perpétuelle mutation.
En réalité, l'engagement de l'Instance en faveur d'une réforme respectueuse des principes de justice sociale mérite d'être souligné.
Salma LABTAR
L'ampleur collective de cette réforme, résultant de la volonté royale, témoigne de la détermination à ne pas se limiter à des modifications superficielles, mais plutôt à aborder de manière exhaustive les aspects juridiques et judiciaires.
Les consultations, qui accueillent les opinions de toutes les couches de la société, incarnent une approche participative novatrice et reflètent de manière éloquente les aspirations et les préoccupations de notre nation.
Il ne s'agit pas simplement d'une réforme juridique, mais plutôt d'une transformation sociale. Cette réforme revêt une importance particulière pour les femmes marocaines.
Les séances d'audition, qui démontrent déjà un engagement déterminé en faveur de la préservation de la stabilité familiale, soulignent l'importance accordée au respect de la dignité de la femme et à l'intérêt suprême des enfants.
Octroyer plus de droits aux femmes s'impose comme une nécessité pressante, constituant la clé pour libérer pleinement leur potentiel au service du développement économique et social du pays. Investir dans le potentiel féminin n'est pas seulement une obligation morale, mais aussi une stratégie économique judicieuse visant à créer des sociétés plus équitables, équilibrées et prospères.
Quasiment une centaine de sessions d'audition ont déjà été organisées, rassemblant plus de 1 500 associations, partis politiques, institutions officielles et acteurs de la société civile. La variété des points de vue exprimés témoigne d'une profonde réflexion et d'une prise de conscience collective quant à l'importance cruciale de ce processus de réforme.
Les participants, tous unis dans leur appui à l'approche participative entamée, louent également la pertinence du moment choisi par le Souverain pour initier ce processus majeur.
La révision du Code de la famille ne se limite pas à une simple actualisation législative ; elle s'inscrit dans une perspective de transformation positive. Cela explique la diversité des opinions recueillies et la richesse des idées énoncées.
L'objectif est de répondre aux attentes du Souverain, tout en satisfaisant les aspirations légitimes d'une société marocaine plutôt complexe. Cette réforme ne se contente pas de réagir aux demandes sociétales actuelles, mais constitue également une opportunité historique pour le Maroc de renforcer son engagement envers l'égalité et le progrès.
À la suite des auditions et des propositions recueillies, le traitement de ces dernières devrait suivre une approche scientifique intégrant les éléments culturels.
La nouvelle version du Code de la famille doit être en adéquation avec le développement de la société marocaine, en incarnant les principes de démocratie, de justice et de respect des droits fondamentaux.
Dans le dessein de renforcer les aspirations du Maroc, guidé par la direction éclairée de son Souverain, qui façonne une trajectoire résolument progressiste vers un avenir d'égalité et de prospérité. Cela vise à rompre les chaînes de l'inégalité sociale pour édifier une société dynamique, portée par la vigueur et la diversité de toutes ses composantes. C'est également dans l'objectif de faire de cette nouvelle version de la Moudawana un catalyseur de développement.
Admettons-le, la mission attribuée à l'instance chargée de la révision du Code de la famille est particulièrement complexe. Cependant, jusqu'à présent, ses membres ont témoigné d'un engagement inébranlable envers la démocratie participative, faisant de chaque séance un forum où les opinions, même les plus divergentes, peuvent être exprimées librement.
Le processus d'audition, toujours en cours, ne se résume pas à une simple formalité, mais plutôt à une célébration de la diversité des idées et des perspectives.
Cette approche inclusive contribuera à abolir les divisions, créant ainsi une vision commune qui reflète les aspirations de notre société en perpétuelle mutation.
En réalité, l'engagement de l'Instance en faveur d'une réforme respectueuse des principes de justice sociale mérite d'être souligné.
Salma LABTAR