A lire ou à écouter en podcast :
La Coordination féministe pour la refonte globale du Code de la famille, la Coalition printemps de la dignité, le Collectif libertés fondamentales, la Coordination parité, la Plateforme convention relative aux droits de l'enfant Maroc, et le Collectif pour des législations égalitaires CLE, «Bghatha Iwaqt», organisent cet événement sous l'égide du Think Thank Awal Houriates.
Tenue au Centre de formation du ministère de la Justice, sous le thème «Pour des législations égalitaires, dans un Maroc en Mutation», cette initiative majeure a pour objectif d'unifier les propositions issues du projet actuellement en préparation du Code de la Famille. Ces propositions émanent des principales instances associatives nationales œuvrant pour la protection des droits et libertés, en mettant particulièrement l'accent sur les droits de la femme et de l'enfant.
Toutes les coordinations, coalitions et collectifs associatifs participant à cette conférence nationale ont en commun la préparation de propositions et de mémorandums liés directement ou indirectement à la réforme de la Moudawana, conformément aux directives royales énoncées dans la lettre du Roi Mohammed VI adressée au Chef du gouvernement le mardi 26 septembre 2023.
À titre de rappel, le Souverain avait souligné la nécessité de «s’ouvrir dans le cadre d’une approche participative à un large spectre d’organisations et d’acteurs de la société civile» dans le processus de réforme du Code de la Famille.
Effectivement, les responsables de cet événement se sont fixé pour mission de favoriser l'intégration de l'égalité dans l'ensemble des dispositions législatives et réglementaires concernant les familles, en accord avec les principes de la Constitution et les traités internationaux ratifiés par le Maroc, tels que la Convention pour l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et la Convention relative aux droits de l'enfant.
Cette conférence nationale aspire à être un lieu de réflexion, de débat et de perfectionnement des propositions avancées par les associations participantes. Sa clôture, le samedi 11 novembre, sera marquée par la présentation des conclusions et des recommandations des divers ateliers, suivie de la lecture et de l'adoption de «l'Appel du mouvement féministe : Pour des législations garantissant l'égalité dans un Maroc en Mutation».
Le programme, riche en interventions d'acteurs associatifs et d'experts éminents, aborde des thématiques telles que les droits de la femme et la réforme de la Moudawana, mais englobe également des ateliers sur les droits de l'enfant, les droits économiques de la femme, la transmission du patrimoine, ainsi que la législation pénale relative à la protection de l'égalité, de la dignité et des libertés individuelles.
L'objectif est d'engager un débat et un échange sur les défis liés à l'intégration de l'égalité, non seulement dans les articles du Code de la famille, mais aussi dans les dispositions des législations pénales ainsi que d'autres lois et règlements concernant la diversité des familles et les droits des femmes et des enfants.
Tenue au Centre de formation du ministère de la Justice, sous le thème «Pour des législations égalitaires, dans un Maroc en Mutation», cette initiative majeure a pour objectif d'unifier les propositions issues du projet actuellement en préparation du Code de la Famille. Ces propositions émanent des principales instances associatives nationales œuvrant pour la protection des droits et libertés, en mettant particulièrement l'accent sur les droits de la femme et de l'enfant.
Toutes les coordinations, coalitions et collectifs associatifs participant à cette conférence nationale ont en commun la préparation de propositions et de mémorandums liés directement ou indirectement à la réforme de la Moudawana, conformément aux directives royales énoncées dans la lettre du Roi Mohammed VI adressée au Chef du gouvernement le mardi 26 septembre 2023.
À titre de rappel, le Souverain avait souligné la nécessité de «s’ouvrir dans le cadre d’une approche participative à un large spectre d’organisations et d’acteurs de la société civile» dans le processus de réforme du Code de la Famille.
Effectivement, les responsables de cet événement se sont fixé pour mission de favoriser l'intégration de l'égalité dans l'ensemble des dispositions législatives et réglementaires concernant les familles, en accord avec les principes de la Constitution et les traités internationaux ratifiés par le Maroc, tels que la Convention pour l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et la Convention relative aux droits de l'enfant.
Cette conférence nationale aspire à être un lieu de réflexion, de débat et de perfectionnement des propositions avancées par les associations participantes. Sa clôture, le samedi 11 novembre, sera marquée par la présentation des conclusions et des recommandations des divers ateliers, suivie de la lecture et de l'adoption de «l'Appel du mouvement féministe : Pour des législations garantissant l'égalité dans un Maroc en Mutation».
Le programme, riche en interventions d'acteurs associatifs et d'experts éminents, aborde des thématiques telles que les droits de la femme et la réforme de la Moudawana, mais englobe également des ateliers sur les droits de l'enfant, les droits économiques de la femme, la transmission du patrimoine, ainsi que la législation pénale relative à la protection de l'égalité, de la dignité et des libertés individuelles.
L'objectif est d'engager un débat et un échange sur les défis liés à l'intégration de l'égalité, non seulement dans les articles du Code de la famille, mais aussi dans les dispositions des législations pénales ainsi que d'autres lois et règlements concernant la diversité des familles et les droits des femmes et des enfants.