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Ces rencontres font partie du processus de consultations et d'auditions organisé par l'Instance en collaboration avec les divers intervenants, en accord avec les directives énoncées dans la lettre Royale adressée au Chef du gouvernement pour la révision du Code de la famille.
En s'exprimant devant la presse à cette occasion, Driss Ouhna, président du Centre Al Quaraouiyine d'études et de recherches, a mis en avant l'importance de conserver les dispositions actuelles du Code de la famille liées aux textes de la Charia. Il a ajouté que d'autres aspects du Code nécessitent des amendements afin de garantir la justice et de résoudre les problèmes soulevés.
De manière individuelle, Nasser Mettioui Mechkouri, membre du Centre d'études juridiques sur les questions sociétales et nationales, a noté que les propositions présentées à l'Instance par le Centre sont alignées avec la Constitution du Royaume et les Conventions internationales, en particulier celles concernant les droits de l'enfant.
Khalid Samadi, président du Centre marocain des études et recherches éducatives, a affirmé pour sa part que le Centre a favorisé l'adoption d'une approche intégrée en ce qui concerne la modification et la mise en œuvre des dispositions du Code de la famille. Il a plaidé en faveur de la transformation de ce Code en une culture sociétale, soulignant l'importance d'intégrer les valeurs et principes familiaux dans les programmes d'enseignement, notamment à travers la médiation familiale et l'éducation parentale. Il a également souligné l'importance du volet médiatique et de la communication pour promouvoir les concepts et le contenu du Code de la famille.
Rachid Aylal, membre de la Coordination paritaire, a souligné que les propositions d'amendements de la Coordination sont essentiellement centrées sur la consolidation du principe d'égalité à la lumière des évolutions que connaît la société marocaine.
Dans la lettre Royale adressée au Chef du gouvernement, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a souligné la nécessité de revisiter le Code de la famille, qui a bénéficié de l'avantage majeur de stimuler une dynamique de changement vertueux et d'introduire une nouvelle conception de l'égalité et de l'équilibre familial. Cela a ouvert la voie à une avancée sociale significative, visant à remédier aux dysfonctionnements et aux lacunes révélés par l'expérience de sa mise en œuvre judiciaire.
Le Roi a mis en lumière la nécessité d'ajuster les dispositions du Code de la famille "en cohérence avec l'évolution de la société marocaine et les impératifs du développement durable", précisant que "la nouvelle version sera ainsi en phase avec l'avancement de notre législation nationale".
Salma LABTAR
En s'exprimant devant la presse à cette occasion, Driss Ouhna, président du Centre Al Quaraouiyine d'études et de recherches, a mis en avant l'importance de conserver les dispositions actuelles du Code de la famille liées aux textes de la Charia. Il a ajouté que d'autres aspects du Code nécessitent des amendements afin de garantir la justice et de résoudre les problèmes soulevés.
De manière individuelle, Nasser Mettioui Mechkouri, membre du Centre d'études juridiques sur les questions sociétales et nationales, a noté que les propositions présentées à l'Instance par le Centre sont alignées avec la Constitution du Royaume et les Conventions internationales, en particulier celles concernant les droits de l'enfant.
Khalid Samadi, président du Centre marocain des études et recherches éducatives, a affirmé pour sa part que le Centre a favorisé l'adoption d'une approche intégrée en ce qui concerne la modification et la mise en œuvre des dispositions du Code de la famille. Il a plaidé en faveur de la transformation de ce Code en une culture sociétale, soulignant l'importance d'intégrer les valeurs et principes familiaux dans les programmes d'enseignement, notamment à travers la médiation familiale et l'éducation parentale. Il a également souligné l'importance du volet médiatique et de la communication pour promouvoir les concepts et le contenu du Code de la famille.
Rachid Aylal, membre de la Coordination paritaire, a souligné que les propositions d'amendements de la Coordination sont essentiellement centrées sur la consolidation du principe d'égalité à la lumière des évolutions que connaît la société marocaine.
Dans la lettre Royale adressée au Chef du gouvernement, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a souligné la nécessité de revisiter le Code de la famille, qui a bénéficié de l'avantage majeur de stimuler une dynamique de changement vertueux et d'introduire une nouvelle conception de l'égalité et de l'équilibre familial. Cela a ouvert la voie à une avancée sociale significative, visant à remédier aux dysfonctionnements et aux lacunes révélés par l'expérience de sa mise en œuvre judiciaire.
Le Roi a mis en lumière la nécessité d'ajuster les dispositions du Code de la famille "en cohérence avec l'évolution de la société marocaine et les impératifs du développement durable", précisant que "la nouvelle version sera ainsi en phase avec l'avancement de notre législation nationale".
Salma LABTAR