Selon le dernier rapport du service européen Copernicus sur le changement climatique, cet été a battu le précédent record de 2023, avec une température moyenne mondiale de 16,82 °C. De la Laponie à l’Australie, en passant par le Canada et les États-Unis, les signes du dérèglement climatique ont été évidents et dramatiques : canicules suffocantes, inondations dévastatrices, incendies incontrôlables, et sécheresses prolongées.
Le Royaume, pas épargné !
Au Maroc, le mois d’août a été particulièrement étouffant, avec des vagues de chaleur qui ont frappé plusieurs villes, notamment Marrakech, Fès et Casablanca, où les thermomètres ont souvent dépassé les 45 °C.
Les conséquences de cette canicule ont été visibles : une augmentation de la consommation d’eau et d’électricité, des risques accrus d’incendies de forêt, notamment dans les zones du Rif et du Moyen Atlas, et des difficultés pour les agriculteurs déjà affectés par la sécheresse prolongée. Cette situation a également soulevé des inquiétudes quant à la gestion des ressources hydriques du pays, déjà en tension, alors que les réserves d’eau se font de plus en plus rares.
Ces chiffres alarmants sont plus qu’un simple record météorologique : ils rappellent que la limite de 1,5 °C fixée par l'accord de Paris sur le climat est dangereusement proche d’être franchie de manière permanente. Et avec cela, les conséquences irréversibles pour notre planète deviennent une réalité de plus en plus probable.
La planète entière, dans son ensemble, est aujourd’hui à la croisée des chemins. Si des mesures drastiques ne sont pas prises pour ralentir le changement climatique, les générations futures hériteront d’une Terre en feu, incapable de subvenir aux besoins de ses habitants. Les effets que nous observons en 2024 sont une préfiguration de ce que pourrait devenir notre quotidien si des actions globales ne sont pas entreprises.
Les conséquences de cette canicule ont été visibles : une augmentation de la consommation d’eau et d’électricité, des risques accrus d’incendies de forêt, notamment dans les zones du Rif et du Moyen Atlas, et des difficultés pour les agriculteurs déjà affectés par la sécheresse prolongée. Cette situation a également soulevé des inquiétudes quant à la gestion des ressources hydriques du pays, déjà en tension, alors que les réserves d’eau se font de plus en plus rares.
Ces chiffres alarmants sont plus qu’un simple record météorologique : ils rappellent que la limite de 1,5 °C fixée par l'accord de Paris sur le climat est dangereusement proche d’être franchie de manière permanente. Et avec cela, les conséquences irréversibles pour notre planète deviennent une réalité de plus en plus probable.
La planète entière, dans son ensemble, est aujourd’hui à la croisée des chemins. Si des mesures drastiques ne sont pas prises pour ralentir le changement climatique, les générations futures hériteront d’une Terre en feu, incapable de subvenir aux besoins de ses habitants. Les effets que nous observons en 2024 sont une préfiguration de ce que pourrait devenir notre quotidien si des actions globales ne sont pas entreprises.