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Climat 2020 une année des plus sèches depuis 1981.mp3 (3.06 Mo)
Traitant de la '’synthèse du climat au Maroc en 2020’’, ce communiqué indique aussi que le climat du Maroc en 2020 a été marqué par des températures minimales et maximales annuelles, anormalement chaudes et par un déficit pluviométrique presque généralisé sur l’ensemble du territoire.
En détails, précise-t-on de même source, le Maroc a connu un mois de février très sec et doux et un mois de juillet remarquablement chaud avec des records de températures minimales et maximales mensuelles battus sur plusieurs villes.
Et ce, à l’image de Fès qui a connu deux nouveaux records de température maximale mensuelle de 23,78 °C en février et de 40,4 °C en juillet dépassant ainsi les anciens records respectivement de 2,24 °C et de 2,15 °C.
Et à l’image aussi de Mohammedia, avec un nouveau record de la température minimale mensuelle de 22,28 °C, enregistré en février.
En détails, précise-t-on de même source, le Maroc a connu un mois de février très sec et doux et un mois de juillet remarquablement chaud avec des records de températures minimales et maximales mensuelles battus sur plusieurs villes.
Et ce, à l’image de Fès qui a connu deux nouveaux records de température maximale mensuelle de 23,78 °C en février et de 40,4 °C en juillet dépassant ainsi les anciens records respectivement de 2,24 °C et de 2,15 °C.
Et à l’image aussi de Mohammedia, avec un nouveau record de la température minimale mensuelle de 22,28 °C, enregistré en février.
Un cumul pluviométrique déficitaire
De même, le cumul pluviométrique annuel en 2020 a enregistré un déficit sur tout le Maroc dépassant les 50 % au nord de Marrakech et sur les régions Souss-Massa et Anti-Atlas alors qu’il n’a quasiment pas plu sur les provinces du Sud.
L’on ajoute aussi, de même source, que cette année est classée parmi les 4 années les plus sèches depuis 1981. Et que sur la saison agricole de septembre 2019 à août 2020, le déficit pluviométrique était aux alentours des -33 % impactant la production céréalière nationale qui a connu une baisse de -39 % par rapport à la campagne 2018-2019 et de -57 % en comparaison avec une année moyenne depuis 2008.
L’on ajoute aussi, de même source, que cette année est classée parmi les 4 années les plus sèches depuis 1981. Et que sur la saison agricole de septembre 2019 à août 2020, le déficit pluviométrique était aux alentours des -33 % impactant la production céréalière nationale qui a connu une baisse de -39 % par rapport à la campagne 2018-2019 et de -57 % en comparaison avec une année moyenne depuis 2008.
Des événements météorologiques extrêmes
Par ailleurs, précise ledit communiqué, le Maroc a connu plusieurs événements météorologiques extrêmes qui ont engendré des dommages et des dégâts dont des vagues de chaleur estivales, de fortes averses orageuses, des vents forts avec des rafales de l’ordre de 100 km/h, des chutes de grêle comme ce fut le cas le 06 juin endommageant 900 ha de culture dans la région du Saiss et du Moyen Atlas.
Et ce, en plus de deux situations marines marquantes, les 29 octobre et 5 décembre 2020, avec des vagues dangereuses dont les hauteurs maximales ont frôlé les 10 mètres et qui ont occasionné des dégâts matériels importants sur certaines régions longeant la côte Atlantique.
La Rédaction