Offres d'emploi : Quand le numérique devient un piège mortel
Bouazza Kherrati, président de l’Union marocaine des droits des consommateurs, tire la sonnette d’alarme. « Le chômage pousse certains jeunes à accepter tout et n’importe quoi », explique-t-il. Les offres, souvent séduisantes, cachent des réalités amères : des salaires inférieurs au SMIC, des promesses de carrières en or qui ne sont que mirages. « Les réseaux sociaux ressemblent à un marché aux puces numérique », souligne-t-il. « Chacun y vend quelque chose, mais il n’y a aucune garantie. »
Les conséquences de ces arnaques vont bien au-delà de la simple perte de temps. Elles peuvent entraîner des demandes de frais d'inscription pour des postes qui n'existent pas, voire des abus ciblant spécifiquement les jeunes femmes. Abdelkrim Chafai, président de la Fédération régionale des droits des consommateurs de Souss-Massa, avertit : « Certaines annonces ne s’adressent qu’aux femmes, ouvrant ainsi la porte à des abus potentiels. »
Face à cette situation alarmante, il est essentiel d'adopter une attitude vigilante. Vérifier l'existence des entreprises avant de répondre à une annonce est primordial. « Si ça semble trop beau pour être vrai, c’est probablement une arnaque », prévient Chafai. Malgré ces avertissements, le besoin désespéré d’un emploi pousse encore de nombreux jeunes à prendre des risques. Kherrati insiste sur le fait qu’il n’existe pas de lois protégeant les victimes de ces escroqueries. « Une fois l’argent parti, c’est fini », dit-il.
Les experts conseillent vivement d’éviter de chercher un emploi sur les réseaux sociaux. Privilégiez des plateformes fiables et ne jamais envoyer d'argent pour obtenir un poste. Le bon sens, dans ce contexte, peut non seulement préserver un portefeuille, mais aussi sauver des vies.
Les conséquences de ces arnaques vont bien au-delà de la simple perte de temps. Elles peuvent entraîner des demandes de frais d'inscription pour des postes qui n'existent pas, voire des abus ciblant spécifiquement les jeunes femmes. Abdelkrim Chafai, président de la Fédération régionale des droits des consommateurs de Souss-Massa, avertit : « Certaines annonces ne s’adressent qu’aux femmes, ouvrant ainsi la porte à des abus potentiels. »
Face à cette situation alarmante, il est essentiel d'adopter une attitude vigilante. Vérifier l'existence des entreprises avant de répondre à une annonce est primordial. « Si ça semble trop beau pour être vrai, c’est probablement une arnaque », prévient Chafai. Malgré ces avertissements, le besoin désespéré d’un emploi pousse encore de nombreux jeunes à prendre des risques. Kherrati insiste sur le fait qu’il n’existe pas de lois protégeant les victimes de ces escroqueries. « Une fois l’argent parti, c’est fini », dit-il.
Les experts conseillent vivement d’éviter de chercher un emploi sur les réseaux sociaux. Privilégiez des plateformes fiables et ne jamais envoyer d'argent pour obtenir un poste. Le bon sens, dans ce contexte, peut non seulement préserver un portefeuille, mais aussi sauver des vies.