M. ALJ a ouvert la discussion en exprimant sa satisfaction quant aux réflexions menées par la CGEM sur le sujet. Il a appelé à un dialogue constructif entre toutes les parties prenantes afin de définir des solutions concrètes pour repositionner les services comme une priorité stratégique. Le secteur des services représente actuellement 50 % du PIB marocain, mais il doit surmonter plusieurs défis pour réaliser son plein potentiel.

L'intégration du secteur informel dans l'économie formelle est l'un des principaux enjeux. M. ALJ a souligné l'importance de la formation professionnelle continue pour le développement économique, notant que le manque de formation constitue un frein majeur. Il a plaidé pour l'augmentation du nombre d'instituts de formation pour répondre aux exigences croissantes du marché du travail.

Le secteur des services au Maroc : Un pilier stratégique pour l'économie

Le soutien aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) est également crucial. M. ALJ a insisté sur la nécessité de mesures concrètes et d'un accompagnement adapté, notamment en matière de financement et de digitalisation. Il a évoqué l'importance d'améliorer les services logistiques pour positionner le Maroc comme un hub industriel régional attractif.

Enfin, en vue de la Coupe du Monde 2030, M. ALJ a souligné le rôle essentiel des services et de l'innovation pour le développement économique du pays. Les start-up marocaines, en intégrant l'intelligence artificielle dans leurs offres, dynamisent l'innovation dans ce secteur, contribuant ainsi à l'image et à l'économie du Maroc.