Sujet: Le marocain et l’écologie font-ils deux ? Comment les réconcilier ? Comment nous convaincre de protéger notre environnement ? Le Maroc fait-il assez pour réussir ce pari écologique ? Où en est-on par rapport aux mesures prises ? Sur qui compter ? Cela vaut-il la peine ?
Nous recevons dans le cadre de notre émission "Entre nous" , Chaïmae Larhmaid, jeune étudiante en ingénierie industrielle à l'EMI, growth manager au Club Enactus EMI.
Pour écouter l'émission, Fichier MP3 en bas de page.
Pour regarder l'émission, Direct en bas de page.
Édito:
On peut rire déjà pour amorcer ce bout de chemin, qu’on pourra sans beaucoup nous tromper reléguer au monde de la littérature, car la protection de l’environnement serait bonne pour les journaux, les conférences, pour les formalités d’usages, prêtes à valider, à bénir la conduite d’un pays ou d’un autre, le bien noter, ou bien même, disons-le, entre nous, marchander son futur, le monnayer à coups d’aides pécunières ou autres…
Mais pourquoi ? Ne moralisons pas cette affaire, au point de la rendre dantesque, si la main invisible peut être un principe moteur pour vivre utile, ne pas compromettre le sort de nos suivants, pourquoi pas ? de toute façon, c’est un secret de tous connu, on gouverne les hommes mieux par leurs vices que par leurs vertues.
Et si tant que nous puissions adopter cette vision macro, entre pays, pour la soumettre à un modèle miniature, qu’on pourrait mieux appréhender, mieux situer dans le calcul de nos intérêts, comment peut-on soudoyer, et le mot est un peu fort je vous l’accorde, le citoyen que nous sommes, pour prendre soin de la planète.
Plus c’est gros plus ça passe dit-on, mais là à voir ce qui se déroule sous nos yeux, ça n’a même pas où passer, bien sûr nous avons droit, au cours de cette tentative jugée burlesque par les uns, par-delà l’humain pour d’autres, à des rires, et des plus mauvais « La terre est là depuis plus de quatre milliards d’années et on veut lui sauver la vie » dit-on.
Comment contrecarrer ce cynisme prégnant, faire saisir à tout un chacun l’utilité de cette chose grosse comme un rêve, comment lui faire miroiter son nombril si tant qu’il puisse être secoué, servir cette cause commune en donnant à manger à son ego…
L’entreprise est de taille, nous nous en voulons pour preuve, et nous parlons ici, de la nécessité de changer de paramètres ou de chanson, de logiciel pour les plus savants d’entre nous, nous nous appuyons donc pour démontrer la nécessité de la chose, de ces boites qui n’ont accouru à la chose écolo, que parce qu’il y avait de l’argent derrière.
Je sais que vous êtes des fous de l’exemple, à moi de vous gaver d’éoliennes, de plaques solaires, de tout ce qui recycle non pas vos humeurs mais vos déchets prêts à vaquer à d’autres querelles,
Nous recevons dans le cadre de notre émission "Entre nous" , Chaïmae Larhmaid, jeune étudiante en ingénierie industrielle à l'EMI, growth manager au Club Enactus EMI.
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Édito:
On peut rire déjà pour amorcer ce bout de chemin, qu’on pourra sans beaucoup nous tromper reléguer au monde de la littérature, car la protection de l’environnement serait bonne pour les journaux, les conférences, pour les formalités d’usages, prêtes à valider, à bénir la conduite d’un pays ou d’un autre, le bien noter, ou bien même, disons-le, entre nous, marchander son futur, le monnayer à coups d’aides pécunières ou autres…
Mais pourquoi ? Ne moralisons pas cette affaire, au point de la rendre dantesque, si la main invisible peut être un principe moteur pour vivre utile, ne pas compromettre le sort de nos suivants, pourquoi pas ? de toute façon, c’est un secret de tous connu, on gouverne les hommes mieux par leurs vices que par leurs vertues.
Et si tant que nous puissions adopter cette vision macro, entre pays, pour la soumettre à un modèle miniature, qu’on pourrait mieux appréhender, mieux situer dans le calcul de nos intérêts, comment peut-on soudoyer, et le mot est un peu fort je vous l’accorde, le citoyen que nous sommes, pour prendre soin de la planète.
Plus c’est gros plus ça passe dit-on, mais là à voir ce qui se déroule sous nos yeux, ça n’a même pas où passer, bien sûr nous avons droit, au cours de cette tentative jugée burlesque par les uns, par-delà l’humain pour d’autres, à des rires, et des plus mauvais « La terre est là depuis plus de quatre milliards d’années et on veut lui sauver la vie » dit-on.
Comment contrecarrer ce cynisme prégnant, faire saisir à tout un chacun l’utilité de cette chose grosse comme un rêve, comment lui faire miroiter son nombril si tant qu’il puisse être secoué, servir cette cause commune en donnant à manger à son ego…
L’entreprise est de taille, nous nous en voulons pour preuve, et nous parlons ici, de la nécessité de changer de paramètres ou de chanson, de logiciel pour les plus savants d’entre nous, nous nous appuyons donc pour démontrer la nécessité de la chose, de ces boites qui n’ont accouru à la chose écolo, que parce qu’il y avait de l’argent derrière.
Je sais que vous êtes des fous de l’exemple, à moi de vous gaver d’éoliennes, de plaques solaires, de tout ce qui recycle non pas vos humeurs mais vos déchets prêts à vaquer à d’autres querelles,
Lien vidéo: https://www.facebook.com/717067299/videos/10159185096422300/
Bref ! comment faire un citoyen, si tant est que l’on puisse façonner sur le tard une pate déjà figée dans de mauvaises habitudes, un citoyen donc, écologiquement responsable ?
Puis qu’est ce que vous avez à lui vendre pour ce fait ?
Pourquoi irait-il s’intéresser à un prochain qu’il ne verra jamais ? alors qu’il sera six pied sous terre, bien entamé, bien fini, ou peut-être, vous dira-t-on, qu’avec cette vitesse folle avec laquelle va le monde et ses soucis environnemtaux , nous irons jusqu’à recycler les morts en faire chose utile.
Mais passons, le maroc fait-il assez pour sensibiliser les citoyens par rapport aux soucis techniques dont souffre la planète bleue ?
Et si tant est que cela se fasse d’en haut, et que les professionnelles s’en occupent, pour que, , et par effet d’entrainement cela arrive, non pas oreilles, mais aux gestes citoyo-quotidien ?
Et nos éoliennes ?
Et nos plaques solaires ?
Et le tri séléctif de nos déchets ?
Et nos carrières de sables, et de nos carrières minières, et nos émission de gaz…
Bref ! comment faire un citoyen, si tant est que l’on puisse façonner sur le tard une pate déjà figée dans de mauvaises habitudes, un citoyen donc, écologiquement responsable ?
Puis qu’est ce que vous avez à lui vendre pour ce fait ?
Pourquoi irait-il s’intéresser à un prochain qu’il ne verra jamais ? alors qu’il sera six pied sous terre, bien entamé, bien fini, ou peut-être, vous dira-t-on, qu’avec cette vitesse folle avec laquelle va le monde et ses soucis environnemtaux , nous irons jusqu’à recycler les morts en faire chose utile.
Mais passons, le maroc fait-il assez pour sensibiliser les citoyens par rapport aux soucis techniques dont souffre la planète bleue ?
Et si tant est que cela se fasse d’en haut, et que les professionnelles s’en occupent, pour que, , et par effet d’entrainement cela arrive, non pas oreilles, mais aux gestes citoyo-quotidien ?
Et nos éoliennes ?
Et nos plaques solaires ?
Et le tri séléctif de nos déchets ?
Et nos carrières de sables, et de nos carrières minières, et nos émission de gaz…
Hicham Aboumerrouane
E.C.Chaimae Larhmaid Entre Nous E.mp3 (98.63 Mo)