Le Covid a pris la ferme décision de ne point laisser l’humanité mener joyeusement sa vie.
Retors et pervers, il a vite réagi aux efforts des humains de se protéger de son intrusion en se faisant vacciner.
En un peu plus d’une année, le virus Sras-Cov2 a déjà produit 3 mutants classés « préoccupants », le variant anglais, le sud-africain et le brésilien.
Ils ont en commun la mutation N501Y, qui les rend plus transmissibles.
Retors et pervers, il a vite réagi aux efforts des humains de se protéger de son intrusion en se faisant vacciner.
En un peu plus d’une année, le virus Sras-Cov2 a déjà produit 3 mutants classés « préoccupants », le variant anglais, le sud-africain et le brésilien.
Ils ont en commun la mutation N501Y, qui les rend plus transmissibles.
Le pire de la couvée
Ainsi, le variant anglais serait 36% à 75% plus contagieux. Le brésilien, 2,5 fois plus.
Le variant indien semble constituer une synthèse de ses cousins anglais, brésilien et sud-africain.
Il a été, jusqu’à présent, classé dans la catégorie dite « d’intérêt », qui en compte six autres, tous surveillés de près par les scientifiques.
Mais au vu de la récente explosion des cas de contamination et de décès en Inde, son reclassement en « préoccupant » est plus que probable.
Le variant indien semble constituer une synthèse de ses cousins anglais, brésilien et sud-africain.
Il a été, jusqu’à présent, classé dans la catégorie dite « d’intérêt », qui en compte six autres, tous surveillés de près par les scientifiques.
Mais au vu de la récente explosion des cas de contamination et de décès en Inde, son reclassement en « préoccupant » est plus que probable.
Multi-mutant
Ce variant qui a couvé en Inde n’est pas nouveau comme on pourrait se l’imaginer. En fait, il est tapi au pays de Gandhi depuis octobre 2020, sans trop faire parler de lui.
Ce variant indien du Sras-Cov2 est imprégné de la diversité culturelle du pays ou il est né. Baptisé « double mutant » quand il fut identifié, il a été démontré, par la suite, qu’il comporte, en fait, pas moins de quinze mutations.
Son patrimoine génétique se distingue par une mutation, la E484Q, apparentée à la E484K de ses congénères sud-africain et brésilien, qui le rend plus résistant, peut-être même aux vaccins existants.
Encore heureux qu’il ne soit pas mis aux 270 langues parlées en Inde.
Ce variant indien du Sras-Cov2 est imprégné de la diversité culturelle du pays ou il est né. Baptisé « double mutant » quand il fut identifié, il a été démontré, par la suite, qu’il comporte, en fait, pas moins de quinze mutations.
Son patrimoine génétique se distingue par une mutation, la E484Q, apparentée à la E484K de ses congénères sud-africain et brésilien, qui le rend plus résistant, peut-être même aux vaccins existants.
Encore heureux qu’il ne soit pas mis aux 270 langues parlées en Inde.
Film d'horreur à Bollywood
Pour l’instant, du fait de ce variant indien et des centaines de milliers de cas d’infection qu’il génère, la situation sanitaire dans ce géant démographique asiatique a été jugée par l’OMS « plus que déchirante ».
Les hôpitaux indiens ploient sous le poids croissant des victimes de ce variant. L’oxygène pour mettre les cas graves sous respiration artificielle y fait défaut. Les structures sanitaires de ce se pays s’effondrent.
Le Maroc a suspendu les vols vers et à partir l’Inde le 24 avril. Mais il y a également les 17 autres pays ou ce variant indien a été identifié.
Les hôpitaux indiens ploient sous le poids croissant des victimes de ce variant. L’oxygène pour mettre les cas graves sous respiration artificielle y fait défaut. Les structures sanitaires de ce se pays s’effondrent.
Le Maroc a suspendu les vols vers et à partir l’Inde le 24 avril. Mais il y a également les 17 autres pays ou ce variant indien a été identifié.
Le signe indien
Se projette, donc, à l’horizon, un retour à la psychose provoquée par la pandémie, dont la traduction est le maintien à bas régime des activités économiques.
Alors qu’on était en droit d’aspirer à un certain retour à la vie normale, au fur et à mesure des arrivages des doses de vaccin, l’espoir grandissant avec le nombre de personnes inoculées, la vitesse de transmission et le taux de létalité de ce variant indien risquent de tout remettre en cause.
On n’est pas sorti de l’auberge.
Alors qu’on était en droit d’aspirer à un certain retour à la vie normale, au fur et à mesure des arrivages des doses de vaccin, l’espoir grandissant avec le nombre de personnes inoculées, la vitesse de transmission et le taux de létalité de ce variant indien risquent de tout remettre en cause.
On n’est pas sorti de l’auberge.