Aujourd’hui au Maroc, des milliers de femmes et de jeunes filles tombent enceintes sans le vouloir. C’est ce qu’on appelle une grossesse non désirée.
Elles voudront se débarrasser de leurs bébés. Elles ont alors recours à l’avortement, qui est interdit par la loi Marocaine.
Une minorité a les moyens financiers, elles partent en Europe pour se faire avorter. Sinon, c’est l’avortement clandestin
On parle de 600 avortements par jour au Maroc chez des femmes entre 15 et 45 ans. On recense 20 000 enfants abandonnés par an au Maroc.
Des médecins sont aujourd’hui en prison quand l’avortement s’est compliqué et la femme décède.
Comment faire évoluer cette situation au Maroc afin de mieux protéger la santé sexuelle et reproductive de la femme Marocaine et conforter le médecin dans la pratique de sa noble profession ?
Dr Anwar CHERKAOUI, reçoit dans son émission « Carrefour santé » de L'ODJ TV et L'ODJ RADIO, Pr Chafiq CHRAIBI, Président de l’Association Marocaine de lutte contre l’avortement clandestin. Les aspects médicaux, législatifs et religieux seront abordés sans langue de bois.
Elles voudront se débarrasser de leurs bébés. Elles ont alors recours à l’avortement, qui est interdit par la loi Marocaine.
Une minorité a les moyens financiers, elles partent en Europe pour se faire avorter. Sinon, c’est l’avortement clandestin
On parle de 600 avortements par jour au Maroc chez des femmes entre 15 et 45 ans. On recense 20 000 enfants abandonnés par an au Maroc.
Des médecins sont aujourd’hui en prison quand l’avortement s’est compliqué et la femme décède.
Comment faire évoluer cette situation au Maroc afin de mieux protéger la santé sexuelle et reproductive de la femme Marocaine et conforter le médecin dans la pratique de sa noble profession ?
Dr Anwar CHERKAOUI, reçoit dans son émission « Carrefour santé » de L'ODJ TV et L'ODJ RADIO, Pr Chafiq CHRAIBI, Président de l’Association Marocaine de lutte contre l’avortement clandestin. Les aspects médicaux, législatifs et religieux seront abordés sans langue de bois.