Seulement, tout récemment, un groupe de dirigeants camerounais vient de remettre en cause cet accord-cadre et envisage de porter l’affaire devant le Tribunal Arbitral du Sport (TAS).
Les contestataires remettent en cause la qualité juridique de la personne signataire au nom de la Fédération camerounaise, M. Seidou Mbombo.
Ils estiment que la CAF a violé l’article 11 de ses statuts qui précise que « la CAF ne reconnait pas les organes d’une Association nationale n’ayant pas été élus ou nommés conformément aux dispositions du paragraph e1 du présent article. Cela concerne également les organes élues ou nommées à titre intérimaire ».
Le signataire au nom de la FECA foot avait été élu à la présidence mais les élections avaient été, par la suite, annulées par le TAS. Et, en conséquence, ce n’est pas lui le président par intérim. C’est un autre dirigeant, M. Albert Mbida, qui avait été nommé en tant que tel par l’Assemblée générale.
Lundi dernier, la CAF, lors d’une réunion de son Comité exécutif en visioconférence, a confirmé l’agenda lié à l’organisation de la CAF tout en reconnaissant l’existence de certaines difficultés qui restent à surmonter. Mais si le TAS intervient, les donnes pourront changer.
Les contestataires remettent en cause la qualité juridique de la personne signataire au nom de la Fédération camerounaise, M. Seidou Mbombo.
Ils estiment que la CAF a violé l’article 11 de ses statuts qui précise que « la CAF ne reconnait pas les organes d’une Association nationale n’ayant pas été élus ou nommés conformément aux dispositions du paragraph e1 du présent article. Cela concerne également les organes élues ou nommées à titre intérimaire ».
Le signataire au nom de la FECA foot avait été élu à la présidence mais les élections avaient été, par la suite, annulées par le TAS. Et, en conséquence, ce n’est pas lui le président par intérim. C’est un autre dirigeant, M. Albert Mbida, qui avait été nommé en tant que tel par l’Assemblée générale.
Lundi dernier, la CAF, lors d’une réunion de son Comité exécutif en visioconférence, a confirmé l’agenda lié à l’organisation de la CAF tout en reconnaissant l’existence de certaines difficultés qui restent à surmonter. Mais si le TAS intervient, les donnes pourront changer.