Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
En politique, ô toi, qui veux gouverner demain,
Apprends à reconnaître où l'on tendra ta main.
Nul poste ne se donne à l'ombre du hasard,
Sans un dessein précis, un conseil, un regard.
L’ambition dans les cœurs éclaire son chemin,
Mais l’espoir se consume au feu d’un vil destin.
C’est à l’ombre des murs que s’échangent les mots,
Et sous le clair de lune se concluent les maux.
On ne devient pas calif sans un coup du destin,
Sans des portes secrètes, des accords clandestins.
Pourtant, tu te refuses à voir l'heure propice,
Cherchant à tout instant à briser l'injustice.
Mais l'arbre de pouvoir ne croît pas en un jour,
Il faut semer longtemps avant qu'il ne soit lourd.
Attends que vienne à toi l'opportunité claire,
Et sache, en homme prudent, patienter pour plaire.
Car à trop devancer ce qui ne doit surgir,
On tombe dans l'abîme où tous rêves chavirent.
Regarde ces grands hommes que l'histoire a chantés,
Ils ont su dans l’attente asseoir leur dignité.
Dans ce théâtre obscur où les rôles sont flous,
Les plus sages attendent que l’on leur ouvre un bout.
Ne cherche pas un trône qu’on ne t’a point offert,
Laisse aux jours et aux nuits d’en tracer l'univers.
Quand viendra l’heure enfin de s’emparer du rang,
Ton pas sera léger, ton triomphe élégant.
Alors, et seulement, tu pourras espérer,
D'un geste sûr et franc, en ton lieu t’installer.
Garde ta flamme vive, mais en douce lueur,
Pour qu'au bon moment l’art en fasse une splendeur.
Apprends à reconnaître où l'on tendra ta main.
Nul poste ne se donne à l'ombre du hasard,
Sans un dessein précis, un conseil, un regard.
L’ambition dans les cœurs éclaire son chemin,
Mais l’espoir se consume au feu d’un vil destin.
C’est à l’ombre des murs que s’échangent les mots,
Et sous le clair de lune se concluent les maux.
On ne devient pas calif sans un coup du destin,
Sans des portes secrètes, des accords clandestins.
Pourtant, tu te refuses à voir l'heure propice,
Cherchant à tout instant à briser l'injustice.
Mais l'arbre de pouvoir ne croît pas en un jour,
Il faut semer longtemps avant qu'il ne soit lourd.
Attends que vienne à toi l'opportunité claire,
Et sache, en homme prudent, patienter pour plaire.
Car à trop devancer ce qui ne doit surgir,
On tombe dans l'abîme où tous rêves chavirent.
Regarde ces grands hommes que l'histoire a chantés,
Ils ont su dans l’attente asseoir leur dignité.
Dans ce théâtre obscur où les rôles sont flous,
Les plus sages attendent que l’on leur ouvre un bout.
Ne cherche pas un trône qu’on ne t’a point offert,
Laisse aux jours et aux nuits d’en tracer l'univers.
Quand viendra l’heure enfin de s’emparer du rang,
Ton pas sera léger, ton triomphe élégant.
Alors, et seulement, tu pourras espérer,
D'un geste sûr et franc, en ton lieu t’installer.
Garde ta flamme vive, mais en douce lueur,
Pour qu'au bon moment l’art en fasse une splendeur.
Ce poème explore l'art subtil de la politique, où l'ambition doit être tempérée par la patience.
Il souligne que le pouvoir ne se conquiert pas par hasard, mais à travers des opportunités soigneusement attendues et saisies. L'auteur met en garde contre l'imprudence de chercher à occuper un poste qui n'a pas été offert, insistant sur l'importance de laisser le destin tracer son chemin.
Les grands leaders de l'histoire sont évoqués comme des exemples de sagesse, ayant su attendre le moment propice pour agir.
Le poème rappelle que l'ambition doit être maîtrisée, cultivée dans l'ombre, pour éclore en une réussite éclatante au moment opportun. En somme, il célèbre la patience et la stratégie dans la quête du pouvoir, suggérant que le véritable triomphe réside dans la capacité à attendre le moment parfait pour agir.
Les grands leaders de l'histoire sont évoqués comme des exemples de sagesse, ayant su attendre le moment propice pour agir.
Le poème rappelle que l'ambition doit être maîtrisée, cultivée dans l'ombre, pour éclore en une réussite éclatante au moment opportun. En somme, il célèbre la patience et la stratégie dans la quête du pouvoir, suggérant que le véritable triomphe réside dans la capacité à attendre le moment parfait pour agir.