A lire ou à écouter en podcast :
« Opportunément » détecté à la veille de la fin du couvre-feu en vigueur depuis plus d’un mois, le premier cas de contamination avec la nouvelle souche de la COVID-19 a justifié le prolongement des restrictions sanitaires pour deux semaines supplémentaires, augurant même d’un fort probable reconfinement comme cela s’est passé au RoyaumeUni et dans d’autres pays atteints.
Exemplaire en début de pandémie, la gestion gouvernementale de la crise sanitaire commence en effet à montrer des signes d’essoufflement, comme en témoignent les grandes incertitudes qui entourent les circuits d’approvisionnement en vaccins privilégiés par l’exécutif.
Après l’annonce en fanfare d’une campagne de vaccination pour la fin 2020 et la promesse d’un Ramadan normal, notre dispositif de lutte contre la pandémie semble être passé au point mort, ultime étape avant de revenir au point zéro, celui du confinement général des populations pour les planquer, le temps que la bourrasque de l’épidémie passe ou qu’elle s’atténue !
Là où de nombreux pays ont commencé la vaccination de leurs populations, sans même que leurs dirigeants ne s’en vantent outremesure comme l’a fait de manière aussi ostentatoire, pour ne pas dire insolente, Khalid Aït Taleb, nous en sommes réduits à voir nos options se réduire comme peau de chagrin, au moment même où le virus mutant fait irruption sous nos cieux.
Fatigués des mesures restrictives et inquiets de leurs inévitables répercussions économiques, les Marocains observent aujourd’hui avec impuissance et circonspection comment la situation semble échapper jour après jour à leurs gouvernants.
L’inquiétante perspective du retour au confinement et d’une généralisation quasi-certaine de l’enseignement distanciel pour leurs enfants viennent aggraver la psychose lors de ce mois de janvier plus que jamais déprimant.
Rédigé par Amine ATER le Mardi 19 Janvier 2021 sur https://lopinion.ma
Exemplaire en début de pandémie, la gestion gouvernementale de la crise sanitaire commence en effet à montrer des signes d’essoufflement, comme en témoignent les grandes incertitudes qui entourent les circuits d’approvisionnement en vaccins privilégiés par l’exécutif.
Après l’annonce en fanfare d’une campagne de vaccination pour la fin 2020 et la promesse d’un Ramadan normal, notre dispositif de lutte contre la pandémie semble être passé au point mort, ultime étape avant de revenir au point zéro, celui du confinement général des populations pour les planquer, le temps que la bourrasque de l’épidémie passe ou qu’elle s’atténue !
Là où de nombreux pays ont commencé la vaccination de leurs populations, sans même que leurs dirigeants ne s’en vantent outremesure comme l’a fait de manière aussi ostentatoire, pour ne pas dire insolente, Khalid Aït Taleb, nous en sommes réduits à voir nos options se réduire comme peau de chagrin, au moment même où le virus mutant fait irruption sous nos cieux.
Fatigués des mesures restrictives et inquiets de leurs inévitables répercussions économiques, les Marocains observent aujourd’hui avec impuissance et circonspection comment la situation semble échapper jour après jour à leurs gouvernants.
L’inquiétante perspective du retour au confinement et d’une généralisation quasi-certaine de l’enseignement distanciel pour leurs enfants viennent aggraver la psychose lors de ce mois de janvier plus que jamais déprimant.
Rédigé par Amine ATER le Mardi 19 Janvier 2021 sur https://lopinion.ma
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