La Fédération royale marocaine de football (FRMF), instance dirigeante du football national, a adressé une longue correspondance à la CAF, le 14 janvier, après la désastreuse et piteuse cérémonie d’ouverture du Championnat d’Afrique des Nations 2022, à Alger.
Partagée par le journaliste béninois Evrard Fulgérale sur les réseaux sociaux, ladite lettre «proteste avec vigueur» face au propos tenus en présence du président de la CAF, le Sud-Africain Patrice Motsepe, et celui de la FIFA, l’Italo-Suisse Gianni Infantino.
Des propos emplis de haine et de racisme, tenus par Zwelivelile Mandla Mandela, petit-fils de Nelson Mandela, qui incitait les terroristes du Polisario au combat.
La FRMF les qualifie d’ailleurs de «violents» et n’ayant «aucun rapport, que ce soit de près ou de loin, avec une compétition sportive». L’instance évoque une «mise en scène» préméditée et ciblant «directement et exclusivement» le Maroc.
La Fédération explique qu’il s’agit là d’une entrave «extrêmement grave» et «totalement inacceptable» à un des principes de la CAF comme la FIFA: l’interdiction ferme et farouche de l’ingérence politique. La FRMF juge également qu’il s’agit d’une «tentative désespérée d’instrumentaliser une cérémonie officielle».
Elle rappelle que la CAF est l’organisatrice de l’évènement et qu’il est de son devoir d’être regardante quant à la qualité de ses intervenants et des discours qu’ils prononcent.
La FRMF demande, ainsi, des «mesures et dispositions» de la CAF afin de sanctionner ces actes «extrêmement graves et flagrantes». Elle demande également une enquête interne et indépendante «d’urgence».
L’instance présidée pour Fouzi Lekjaa se réserve le droit de protéger et défendre ses intérêts légitimes par toutes les voies de droit.
Partagée par le journaliste béninois Evrard Fulgérale sur les réseaux sociaux, ladite lettre «proteste avec vigueur» face au propos tenus en présence du président de la CAF, le Sud-Africain Patrice Motsepe, et celui de la FIFA, l’Italo-Suisse Gianni Infantino.
Des propos emplis de haine et de racisme, tenus par Zwelivelile Mandla Mandela, petit-fils de Nelson Mandela, qui incitait les terroristes du Polisario au combat.
La FRMF les qualifie d’ailleurs de «violents» et n’ayant «aucun rapport, que ce soit de près ou de loin, avec une compétition sportive». L’instance évoque une «mise en scène» préméditée et ciblant «directement et exclusivement» le Maroc.
La Fédération explique qu’il s’agit là d’une entrave «extrêmement grave» et «totalement inacceptable» à un des principes de la CAF comme la FIFA: l’interdiction ferme et farouche de l’ingérence politique. La FRMF juge également qu’il s’agit d’une «tentative désespérée d’instrumentaliser une cérémonie officielle».
Elle rappelle que la CAF est l’organisatrice de l’évènement et qu’il est de son devoir d’être regardante quant à la qualité de ses intervenants et des discours qu’ils prononcent.
La FRMF demande, ainsi, des «mesures et dispositions» de la CAF afin de sanctionner ces actes «extrêmement graves et flagrantes». Elle demande également une enquête interne et indépendante «d’urgence».
L’instance présidée pour Fouzi Lekjaa se réserve le droit de protéger et défendre ses intérêts légitimes par toutes les voies de droit.
LODJ avec Le360.ma