Intervention en Replay en partenariat avec L'ODJ Média
Les sujets et les points saillants traités par M.Omar SEGHROUCHNI lors de son intervention [NDLR]
Omar Seghrouchni parle de l'intelligence artificielle et de ses différentes applications.
Il mentionne l'utilisation des machines à calculer comme une forme d'intelligence artificielle. Il souligne que l'intelligence artificielle peut être utilisée pour effectuer des calculs en masse rapidement. Il fait référence au terme "big data" qui est de moins en moins utilisé.
L'intervenant souligne la nécessité de se concentrer sur les usages de l'intelligence artificielle plutôt que sur la régulation des technologies, et critique certaines propositions de régulation qui ne sont pas basées sur des connaissances approfondies.
Les régulateurs doivent se concentrer sur les usages de l'intelligence artificielle plutôt que sur les technologies elles-mêmes. Certains experts en intelligence artificielle manquent de formations et de travaux de recherche approfondis. L'intervenant critique la proposition de créer une autorité spécialisée pour la régulation de l'intelligence artificielle.
La problématique de la régulation de l'intelligence artificielle est de bénéficier des nouvelles technologies tout en respectant la vie privée des gens.
La décision de réguler l'IA ne doit pas être prise par une institution spécifique, mais par la société dans son ensemble. Il est important de prendre en compte la vie privée des individus lors de l'utilisation de l'IA. La traçabilité des données est un enjeu majeur dans le contexte de l'IA et de la collecte de données massives.
Le respect de la vie privée et les décisions automatisées sont des enjeux importants liés à l'intelligence artificielle.
Le respect de la vie privée varie selon les pays et nécessite une réflexion individuelle. Il y a une confusion entre le calcul rapide et les nouveaux paradigmes de réflexion liés à l'IA. Les décisions automatisées posent la question de savoir si une validation humaine est nécessaire, par exemple dans le cas des drones sur un champ de bataille. La problématique de l'équilibre entre l'efficacité promue par l'intelligence artificielle et les valeurs que l'on souhaite voir respecter dans la société.
L'analogie du code du travail et des voitures en circulation est utilisée pour illustrer cette problématique. Il est nécessaire de trouver un compromis entre l'efficacité et le respect des valeurs sociales. Les grandes tendances et acteurs internationaux mettent l'accent sur l'éthique, mais il est important d'enseigner aux enfants les règles de sécurité. Le conférencier aborde les défis et enjeux de la régulation du droit à l'ère de l'IA.
Il mentionne que l'éthique et la régulation seront remplacées par l'ouverture et la collaboration. Il souligne la nécessité de créer des instances différentes pour la protection des données et la régulation de l'IA. Il se demande comment faire la distinction entre les traitements et les usages qui doivent être régulés ici ou là. Il insiste sur l'importance de l'usage de la technologie et ses conséquences sur la société. Il annonce le lancement d'une consultation nationale sur la protection des données. La CNDP renouvelle son mandat pour 2 ans et travaille de manière transversale au niveau international pour construire le droit en matière d'intelligence artificielle.
La CNDP fait partie d'un comité exécutif de 8 membres depuis octobre 2021. Le mandat de la CNDP a été renouvelé lors de la dernière assemblée générale. La CNDP interagit avec d'autres pays pour connaître les tendances et travailler de manière transverse au niveau international. Les orientations européennes vont également dans ce sens de construire le droit de manière transverse.
Il mentionne l'utilisation des machines à calculer comme une forme d'intelligence artificielle. Il souligne que l'intelligence artificielle peut être utilisée pour effectuer des calculs en masse rapidement. Il fait référence au terme "big data" qui est de moins en moins utilisé.
L'intervenant souligne la nécessité de se concentrer sur les usages de l'intelligence artificielle plutôt que sur la régulation des technologies, et critique certaines propositions de régulation qui ne sont pas basées sur des connaissances approfondies.
La problématique de la régulation de l'intelligence artificielle est de bénéficier des nouvelles technologies tout en respectant la vie privée des gens.
Le respect de la vie privée et les décisions automatisées sont des enjeux importants liés à l'intelligence artificielle.
L'analogie du code du travail et des voitures en circulation est utilisée pour illustrer cette problématique. Il est nécessaire de trouver un compromis entre l'efficacité et le respect des valeurs sociales. Les grandes tendances et acteurs internationaux mettent l'accent sur l'éthique, mais il est important d'enseigner aux enfants les règles de sécurité. Le conférencier aborde les défis et enjeux de la régulation du droit à l'ère de l'IA.
Il mentionne que l'éthique et la régulation seront remplacées par l'ouverture et la collaboration. Il souligne la nécessité de créer des instances différentes pour la protection des données et la régulation de l'IA. Il se demande comment faire la distinction entre les traitements et les usages qui doivent être régulés ici ou là. Il insiste sur l'importance de l'usage de la technologie et ses conséquences sur la société. Il annonce le lancement d'une consultation nationale sur la protection des données. La CNDP renouvelle son mandat pour 2 ans et travaille de manière transversale au niveau international pour construire le droit en matière d'intelligence artificielle.
La CNDP fait partie d'un comité exécutif de 8 membres depuis octobre 2021. Le mandat de la CNDP a été renouvelé lors de la dernière assemblée générale. La CNDP interagit avec d'autres pays pour connaître les tendances et travailler de manière transverse au niveau international. Les orientations européennes vont également dans ce sens de construire le droit de manière transverse.
Who is Omar Seghrouchni
Président de la CNDP (Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données à caractère Personnel). Il a été lauréat en 1986 de l’Ecole Mohammédia d’Ingénieurs en Génie Electrique, option Automatique et Informatique Industrielle, puis, en 1987, d’un DEA de Mathématiques et Automatique de l’Université Paris IX – Dauphine et de l’Ecole des Mines de Paris.
Il est également titulaire d’un master en Diplomatie et Stratégie au CEDS à Paris et d’un master en Intelligence Économique à l’École de Guerre Économique à Paris. Il a commencé sa carrière en 1988, en France, dans le monde de la recherche (dans le monde du temps réel et des systèmes embarqués), avant de rejoindre des structures de conseil en organisation et systèmes d’information, puis de créer son propre cabinet.
Omar SEGHROUCHNI a piloté plusieurs grands projets de transformations aussi bien dans le secteur privé que le secteur public, en France et au Maroc, et de façon plus large en Europe. Il a accompagné les différentes vagues de démarche d’urbanisme et d’architecture d’entreprise.
Il a développé le concept de « gouvernance des transformations ». Il est membre, depuis 2010, de la CNDP (Commission Nationale de contrôle de la protection des Données à caractère Personnel). Sa Majesté le Roi, que Dieu l’assiste, l’a nommé, le 17 novembre 2018, président de cette même Commission.
Il est également titulaire d’un master en Diplomatie et Stratégie au CEDS à Paris et d’un master en Intelligence Économique à l’École de Guerre Économique à Paris. Il a commencé sa carrière en 1988, en France, dans le monde de la recherche (dans le monde du temps réel et des systèmes embarqués), avant de rejoindre des structures de conseil en organisation et systèmes d’information, puis de créer son propre cabinet.
Omar SEGHROUCHNI a piloté plusieurs grands projets de transformations aussi bien dans le secteur privé que le secteur public, en France et au Maroc, et de façon plus large en Europe. Il a accompagné les différentes vagues de démarche d’urbanisme et d’architecture d’entreprise.
Il a développé le concept de « gouvernance des transformations ». Il est membre, depuis 2010, de la CNDP (Commission Nationale de contrôle de la protection des Données à caractère Personnel). Sa Majesté le Roi, que Dieu l’assiste, l’a nommé, le 17 novembre 2018, président de cette même Commission.