La Coupe d'Afrique des nations, actuellement en cours en Côte d'Ivoire, a été marquée par la manifestation de cette haine irrationnelle envers le Maroc. En plus de soutenir ouvertement, dans les médias officiels, l'équipe adverse du Maroc, la Tanzanie, le sélectionneur algérien de cette équipe a poussé le zèle jusqu'à participer à des séances de chamanisme lors d'émissions de télévision, exprimant ainsi de manière spectaculaire cette animosité. Cela a créé une atmosphère particulièrement intense au sein de la Coupe d'Afrique des nations 2024.
Adel Amrouch a suscité l'attention dans les cercles politiques et sportifs africains en lançant des attaques virulentes contre le Maroc, l'accusant de corrompre les institutions du football africain par des pratiques douteuses et des passe-droits. En relayant la rhétorique haineuse du régime algérien contre le Maroc, il s'est aligné sur l'accusation selon laquelle le Maroc, pour déprécier ses performances, aurait recours à des forces occultes ou à des pratiques jugées immorales.
Cependant, exprimer ces affirmations à l'échelle africaine n'était pas à l'abri des conséquences juridiques liées à la diffamation. La réaction ne s'est pas fait attendre, et la sanction a été immédiate.
Adel Amrouche a connu les retombées négatives de ses attaques virulentes contre le Maroc. Non seulement il a été limogé de son poste de sélectionneur par la fédération tanzanienne, mais il a également été remplacé par Hemed Morocco, un remplaçant au nom pour le moins singulier. De plus, il a écopé d'une longue suspension et d'une amende.
L'éviction rapide et catégorique d'Adel Amrouche a ravivé l'obsession algérienne envers le Maroc. Cependant, dans la réalité, les lois et les règlements interdisent de proférer des accusations diffamatoires sans que la justice n'intervienne.
L'affaire Adel Amrouche n'était pas le seul scandale algérien de la CAN 2024. Les réseaux sociaux ont vivement réagi aux propos racistes et africanophobes tenus par une influenceuse algérienne du nom de Sophia Benlemmane. Ses déclarations ouvertement racistes envers les populations africaines ont suscité l'indignation sur la scène africaine, entraînant une garde à vue d'une cinquantaine d'heures dans les locaux de la police ivoirienne avant son expulsion vers l'Algérie.
Sophia, connue pour ses propos xénophobes et racistes, est également affiliée aux services algériens, agissant comme un canal de propagande et de provocation pour le régime algérien, dont elle ne cache ni l'appartenance ni le militantisme affirmé. Malgré cela, face à l'ampleur du scandale et à la condamnation mondiale de ses déclarations racistes, certains médias officiels algériens ont saisi l'occasion pour accuser le Maroc d'être à l'origine de cette affaire impliquant Sophia Benlemmane.
Cela démontre l'obsession profonde du régime algérien à l'égard du Maroc, allant jusqu'à attribuer la responsabilité des échecs et des erreurs à l'influence marocaine. Cette attitude suscite depuis longtemps une inquiétude préoccupante chez les voisins de l'Algérie, qui craignent que cette irrationalité au sein du pouvoir algérien ne constitue une véritable menace pour la paix et la stabilité régionales.
Adel Amrouch a suscité l'attention dans les cercles politiques et sportifs africains en lançant des attaques virulentes contre le Maroc, l'accusant de corrompre les institutions du football africain par des pratiques douteuses et des passe-droits. En relayant la rhétorique haineuse du régime algérien contre le Maroc, il s'est aligné sur l'accusation selon laquelle le Maroc, pour déprécier ses performances, aurait recours à des forces occultes ou à des pratiques jugées immorales.
Ses déclarations, telles que : «La Fédération marocaine est une puissance prouvée dans le monde du ballon rond africain. Actuellement, c’est le Maroc qui gère le football africain. Ils (fédération et Maroc) choisissent aussi leurs arbitres, et nous, nous demeurons de simples spectateurs», étaient bien acceptées dans l'opinion algérienne et les médias locaux, renforçant ainsi l'attitude agressive et méfiante envers le Maroc.
Cependant, exprimer ces affirmations à l'échelle africaine n'était pas à l'abri des conséquences juridiques liées à la diffamation. La réaction ne s'est pas fait attendre, et la sanction a été immédiate.
Adel Amrouche a connu les retombées négatives de ses attaques virulentes contre le Maroc. Non seulement il a été limogé de son poste de sélectionneur par la fédération tanzanienne, mais il a également été remplacé par Hemed Morocco, un remplaçant au nom pour le moins singulier. De plus, il a écopé d'une longue suspension et d'une amende.
L'éviction rapide et catégorique d'Adel Amrouche a ravivé l'obsession algérienne envers le Maroc. Cependant, dans la réalité, les lois et les règlements interdisent de proférer des accusations diffamatoires sans que la justice n'intervienne.
L'affaire Adel Amrouche n'était pas le seul scandale algérien de la CAN 2024. Les réseaux sociaux ont vivement réagi aux propos racistes et africanophobes tenus par une influenceuse algérienne du nom de Sophia Benlemmane. Ses déclarations ouvertement racistes envers les populations africaines ont suscité l'indignation sur la scène africaine, entraînant une garde à vue d'une cinquantaine d'heures dans les locaux de la police ivoirienne avant son expulsion vers l'Algérie.
Sophia, connue pour ses propos xénophobes et racistes, est également affiliée aux services algériens, agissant comme un canal de propagande et de provocation pour le régime algérien, dont elle ne cache ni l'appartenance ni le militantisme affirmé. Malgré cela, face à l'ampleur du scandale et à la condamnation mondiale de ses déclarations racistes, certains médias officiels algériens ont saisi l'occasion pour accuser le Maroc d'être à l'origine de cette affaire impliquant Sophia Benlemmane.
Cela démontre l'obsession profonde du régime algérien à l'égard du Maroc, allant jusqu'à attribuer la responsabilité des échecs et des erreurs à l'influence marocaine. Cette attitude suscite depuis longtemps une inquiétude préoccupante chez les voisins de l'Algérie, qui craignent que cette irrationalité au sein du pouvoir algérien ne constitue une véritable menace pour la paix et la stabilité régionales.
Coupe d'Afrique des nations, Haine irrationnelle envers le Maroc, Sélectionneur algérien, Séances de chamanisme, Atmosphère intense, Adel Amrouche, Attaques virulentes ,Corruption dans le football africain, Forces occultes, Diffamation, Sanction immédiate
Salma LABTAR