Président de la Confédération africaine de football (CAF), Patrice Motsepe a annoncé lundi que la CAN 2021 se déroulera bel et bien au Cameroun à partir du 9 janvier en dépit des rumeurs d’annulation. Mais le combat n’est pas terminé pour autant puisqu’il faut encore faire face aux réticences de nombreux clubs européens, notamment anglais, qui vont tenter de bloquer leurs internationaux africains.
Présent devant la presse à l’issue d’une rencontre avec le président camerounais Paul Biya ce mardi à Yaoundé, le patron du football africain a prôné le dialogue. «Nous voulons que nos joueurs africains évoluent en Europe, qu’ils y réussissent et qu’ils jouent dans le monde entier. Mais nous voulons aussi construire le football africain pour qu’il devienne un pôle d’excellence mondial. Nous allons donc nous engager avec tous les clubs», a promis le Sud-Africain dans des propos rapportés par RFI en faisant certainement référence au protocole sanitaire mis en place pour le tournoi.
Le dirigeant a ensuite quelque peu haussé le ton. «De plus, nous sommes guidés par les règles de la FIFA (qui empêchent les clubs de retenir un joueur appelé en équipe nationale pour une compétition officielle, ndlr). C’est très important car on ne peut pas toujours permettre le fait que l’Afrique passe en dernière et soit à la remorque», a asséné l’homme d’affaires. Le message est passé et les clubs européens vont bien devoir s’y plier sous peine d’encourir des sanctions.
Présent devant la presse à l’issue d’une rencontre avec le président camerounais Paul Biya ce mardi à Yaoundé, le patron du football africain a prôné le dialogue. «Nous voulons que nos joueurs africains évoluent en Europe, qu’ils y réussissent et qu’ils jouent dans le monde entier. Mais nous voulons aussi construire le football africain pour qu’il devienne un pôle d’excellence mondial. Nous allons donc nous engager avec tous les clubs», a promis le Sud-Africain dans des propos rapportés par RFI en faisant certainement référence au protocole sanitaire mis en place pour le tournoi.
Le dirigeant a ensuite quelque peu haussé le ton. «De plus, nous sommes guidés par les règles de la FIFA (qui empêchent les clubs de retenir un joueur appelé en équipe nationale pour une compétition officielle, ndlr). C’est très important car on ne peut pas toujours permettre le fait que l’Afrique passe en dernière et soit à la remorque», a asséné l’homme d’affaires. Le message est passé et les clubs européens vont bien devoir s’y plier sous peine d’encourir des sanctions.