Une saison sur un match. Les deux équipes, non qualifiées pour la Ligue des champions dans leurs championnats respectifs, ont l'occasion de sauver l'honneur à la Puskás Arena et d'obtenir, en cas de victoire, le sésame rêvé pour la prestigieuse C1.
"Mou n'a plus que Séville", a d'ailleurs titré le journal italien La Gazzetta dello Sport alors que le légendaire coach portugais essaiera d'offrir à la Roma sa deuxième coupe continentale en deux ans, après celle gagnée l'année dernière en Ligue Europa Conférence contre le Feyenoord Rotterdam.
José Mourinho pourrait ainsi collectionner son sixième titre européen après ses deux Ligues des champions (2004 avec le FC Porto, 2010 avec l'Inter Milan), ses deux Ligues Europa (2003 avec le FC Porto, 2017 avec Manchester United) et la Ligue Europa Conference glanée en 2022.
La science du technicien lusitanien fera-t-elle de nouveau la différence? Le Portugais est redoutable dans ces rencontres-couperet puisqu'il ne s'est jamais incliné au cours d'une finale européenne, hormis trois échecs en Supercoupe.
S'il parvenait à l'emporter, il rejoindrait Alex Ferguson et Giovanni Trapattoni, également sacrés six fois en Coupes d'Europe, juste derrière Carlo Ancelotti et ses neuf titres, offrant un deuxième trophée à la Roma après les deux finales perdues, en 1984 en C1 et en 1991 en C3.
- Sept sur sept pour Séville? -
Cette nouvelle coupe permettrait surtout à la Louve de pouvoir faire son grand retour en Ligue des champions. Car la C1, objectif annoncé par ses dirigeants, n'est plus possible via le championnat après une fin de saison à l'envers: l'AS Rome reste sur une série de sept matches sans victoire (quatre nuls, trois défaites) et une 6e place de Série A, à une journée de la fin de saison.
La victoire du club italien en Coupe d'Europe pourrait être le prélude à un fabuleux triplé transalpin, avant la finale de la Ligue Europa Conference entre la Fiorentina et West Ham, le 7 juin, et celle de la Ligue des champions entre l'Inter Milan et Manchester City, le 10 juin.
Les Romains, portés par une dizaine de milliers de supporters à Budapest et les 50.000 prévus au Stadio olimpico de Rome, pourront compter sur le retour de l'Italien Leonardo Spinazzola, sorti sur blessure lors de la demi-finale face au Bayer Leverkusen. Tout comme sur la présence de Stephan El Shaarawy, qui avait senti une fatigue musculaire ce week-end. Touché à la cheville, l'Argentin Paulo Dybala pourrait également être aligné.
De son côté, le FC Séville s'appuie aussi sur des statistiques impressionnantes: le club rouge et blanc, tout proche de la relégation en Liga il y a de cela deux mois à peine, est invaincu en finale de Ligue Europa avec six sacres, un record.
En demi-finale, les hommes de José Luis Mendilibar, arrivé il y a quelques semaines après le départ de Jorge Sampaoli, ont déjà battu un club italien, venant à bout de la Juventus d'Allegri après prolongation (2-1) après un match nul ramené de Turin à l'aller (1-1).
Actuellement onzièmes de Liga et ressuscités en quelques semaines par le coach espagnol, les Sévillans avaient pu s'appuyer au match retour sur le soutien de 42.000 supporters en transe. Mercredi, environ 10.000 chanteront à la Puskás Arena pour rêver d'un septième sacre.
"Mou n'a plus que Séville", a d'ailleurs titré le journal italien La Gazzetta dello Sport alors que le légendaire coach portugais essaiera d'offrir à la Roma sa deuxième coupe continentale en deux ans, après celle gagnée l'année dernière en Ligue Europa Conférence contre le Feyenoord Rotterdam.
José Mourinho pourrait ainsi collectionner son sixième titre européen après ses deux Ligues des champions (2004 avec le FC Porto, 2010 avec l'Inter Milan), ses deux Ligues Europa (2003 avec le FC Porto, 2017 avec Manchester United) et la Ligue Europa Conference glanée en 2022.
La science du technicien lusitanien fera-t-elle de nouveau la différence? Le Portugais est redoutable dans ces rencontres-couperet puisqu'il ne s'est jamais incliné au cours d'une finale européenne, hormis trois échecs en Supercoupe.
S'il parvenait à l'emporter, il rejoindrait Alex Ferguson et Giovanni Trapattoni, également sacrés six fois en Coupes d'Europe, juste derrière Carlo Ancelotti et ses neuf titres, offrant un deuxième trophée à la Roma après les deux finales perdues, en 1984 en C1 et en 1991 en C3.
- Sept sur sept pour Séville? -
Cette nouvelle coupe permettrait surtout à la Louve de pouvoir faire son grand retour en Ligue des champions. Car la C1, objectif annoncé par ses dirigeants, n'est plus possible via le championnat après une fin de saison à l'envers: l'AS Rome reste sur une série de sept matches sans victoire (quatre nuls, trois défaites) et une 6e place de Série A, à une journée de la fin de saison.
La victoire du club italien en Coupe d'Europe pourrait être le prélude à un fabuleux triplé transalpin, avant la finale de la Ligue Europa Conference entre la Fiorentina et West Ham, le 7 juin, et celle de la Ligue des champions entre l'Inter Milan et Manchester City, le 10 juin.
Les Romains, portés par une dizaine de milliers de supporters à Budapest et les 50.000 prévus au Stadio olimpico de Rome, pourront compter sur le retour de l'Italien Leonardo Spinazzola, sorti sur blessure lors de la demi-finale face au Bayer Leverkusen. Tout comme sur la présence de Stephan El Shaarawy, qui avait senti une fatigue musculaire ce week-end. Touché à la cheville, l'Argentin Paulo Dybala pourrait également être aligné.
De son côté, le FC Séville s'appuie aussi sur des statistiques impressionnantes: le club rouge et blanc, tout proche de la relégation en Liga il y a de cela deux mois à peine, est invaincu en finale de Ligue Europa avec six sacres, un record.
En demi-finale, les hommes de José Luis Mendilibar, arrivé il y a quelques semaines après le départ de Jorge Sampaoli, ont déjà battu un club italien, venant à bout de la Juventus d'Allegri après prolongation (2-1) après un match nul ramené de Turin à l'aller (1-1).
Actuellement onzièmes de Liga et ressuscités en quelques semaines par le coach espagnol, les Sévillans avaient pu s'appuyer au match retour sur le soutien de 42.000 supporters en transe. Mercredi, environ 10.000 chanteront à la Puskás Arena pour rêver d'un septième sacre.